Vous voulez vous sortir du cycle de la procrastination ? Voici comment faire.

Par Études Universitaires
Student sitting at a desk surrounded by books and papers  with unfinished assignments.

Par Claire Hutcheon

Mon passage du secondaire à l’université a été une expérience surréaliste. Adieu à la routine scolaire quotidienne qui me maintenait sur la bonne voie et au revoir aux parents ou enseignantes et enseignants qui me rappelaient sans cesse de faire mes travaux et d’étudier pour mes examens. J’étais finalement une adulte, responsable de mes propres décisions et de ma gestion du temps, délivrée de toute structure, libérée.

Ce sentiment a duré environ un mois, jusqu’au jour où je me suis rendu compte d’un examen de mi-session que j’avais fini par oublier, après en avoir reporté la préparation à plusieurs reprises. J’ai raté l’examen et j’ai dû abandonner le cours, ce qui a été inscrit sur mon relevé de notes.

Qu’il s’agisse de répondre tardivement à un courriel, d’attendre à la dernière minute pour étudier avant un examen ou de retarder un travail, presque tout le monde s’est déjà retrouvé piégé dans le cycle familier du « je le ferai plus tard ».

L’entrée à l’université pourrait mener à votre première expérience avec la procrastination ; ou alors, vous en avez déjà l’habitude et vous connaissez très bien les difficultés qu’elle entraîne.

Malheureusement, la procrastination peut nuire à la réussite en engendrant une baisse des résultats aux examens, un ralentissement de l’avancement professionnel, une anxiété accrue et une diminution de l’estime de soi. Elle peut même vous empêcher de terminer vos études. Si l’idéal est de tuer la procrastination dans l’œuf, il faut à tout le moins savoir s’en sortir — et ça commence par comprendre la cause du problème.

La procrastination ne consiste pas seulement à reporter intentionnellement des tâches ; c’est un processus irrationnel qui se produit malgré les conséquences négatives, car il est gratifiant pour le cerveau.

Lorsque vous prenez une telle décision, la tension se dissipe, cédant la place à du plaisir initié par le mécanisme de récompenses de votre corps qui ne tient pas compte de la notion du temps.

Vous continuez alors à remettre votre travail au lendemain pour revivre ces « sensations agréables ». C’est ainsi que vous entrez dans un cercle vicieux jusqu’à la date limite. 

Une autre forme de procrastination consiste à accomplir les petites tâches sans grande importance. Par exemple, laver la vaisselle plutôt qu’étudier pour un examen final. Ainsi, vous évitez la tâche principale en vous distrayant avec quelque chose de productif, ce qui vous procure un sentiment de satisfaction.

C’est une souque à la corde avec la maîtrise de soi, tout comme lorsque vous grattez une croûte ou mangez au-delà de votre faim. Lorsqu’elle devient une habitude, la procrastination devient difficile à surmonter. D’où le dicton « les vieilles habitudes ont la vie dure ».

Alors, comment pouvez-vous tourner le dos à la procrastination ?

En toute honnêteté, je n’ai pas abandonné mes habitudes en claquant des doigts. Mais, après des années passées à apprendre ma leçon encore et encore, je me suis beaucoup améliorée et j’ai même élaboré quelques astuces sur lesquelles m’appuyer lorsque je sens que je perds la bataille.

Voici quelques façons de remettre au lendemain votre procrastination à l’université.

Avalez le crapaud

Comme l’a dit Mark Twain « si vous devez avaler un crapaud vivant, mieux vaut le faire le matin à la première heure et rien de pire ne pourra vous arriver pour le restant de la journée ». En d’autres mots, si vous vous attaquez à la tâche la plus importante de la journée avant tout le reste, vous vaincrez la tentation de procrastiner.

Certes, vous devrez adapter vos matinées pour avaler votre crapaud, mais il s’agit d’un moyen efficace de commencer la journée du bon pied et d’éviter d’accorder la priorité aux petites tâches plutôt qu’aux plus ardues et importantes.

Ou encore, ne faites rien !

Je sais que cela peut paraître tout sauf productif. Ne devrais-je pas dire « entamez simplement votre tâche » ? Cependant, la plupart des personnes qui procrastinent ne sont pas paresseuses, elles accomplissent simplement des choses moins importantes et qui procurent une satisfaction plus immédiate, afin d’éviter les tâches plus importantes et anxiogènes.

La méthode « ou encore, ne faites rien » consiste à réserver une certaine plage horaire dans la journée pour travailler, disons 90 minutes. Vous n’avez pas à travailler sur votre grosse tâche effrayante pendant cette période, mais vous ne pouvez rien faire d’autre. Interdiction de vous distraire avec votre téléphone, de dormir, de ranger votre chambre ou de faire la vaisselle. Vous devez simplement vous asseoir et ne rien faire.

Éventuellement, vous commencerez doucement à travailler et, lorsque vous sentirez que votre esprit part à la dérive, arrêtez-vous et fixez le mur. Ne rien faire vous donnera l’impression de prendre une pause, sans que cela soit suffisant pour vous distraire.

Planifiez votre journée avant même qu’elle ne commence

Le fait de planifier sa journée au réveil peut être chronophage et réduire le temps dont on dispose pour travailler. En le faisant la veille, vous réduirez le nombre de décisions à prendre sur-le-champ. Ainsi, vous commencerez votre journée avec un sentiment d’accomplissement et en sachant déjà ce que vous avez à faire en premier.

Faites une liste, puis réduisez-la de moitié

Il est facile de se laisser absorber par des tâches moins importantes lorsqu’on est en train de procrastiner ou à deux doigts de le faire. Le simple fait d’avoir trop de choses à faire dans une journée peut être accablant et vous pousser à la procrastination. 

Lorsque vous dressez votre liste de choses à faire, écrivez tout ce qui vous vient à l’esprit. Ensuite, rayez les tâches les moins importantes et les moins urgentes pour ne laisser que celles qui doivent absolument être accomplies.

Ainsi, vous pourrez mieux vous concentrer et serez moins susceptible de vous laisser distraire par le travail peu important, mais gratifiant.

Adaptez votre environnement

Ma tendance à la procrastination me crée également de l’anxiété de ratage et de grandes insécurités. Lorsqu’un travail me rend à bout de nerfs, mon réflexe initial est de sortir de chez moi. Je trouve qu’il y a beaucoup trop de distractions lorsque j’essaie de travailler dans ma chambre ou à la table à manger, surtout en l’absence d’une personne qui me reprocherait de ne pas travailler.

Lorsque je vais dans un café ou à la bibliothèque, je transforme mes propres insécurités en alliées, et me mets au travail par peur d’être jugée. La pression sociale que je ressens quand je suis entourée de personnes productives fait des merveilles pour moi.

Si le bruit et les mouvements incessants vous empêchent de travailler dans un endroit public, cherchez un endroit calme où vous pourrez vous asseoir et vous concentrer. Éliminez toutes les distractions et mettez tous vos appareils en mode « Ne pas déranger ». Il faut parfois se mettre dans une bulle pour pouvoir se concentrer sur son travail.

Pour bon nombre de personnes, la procrastination est une lutte constante, en particulier à l’université, où ces nouveaux sentiments de liberté et d’indépendance peuvent rapidement entraîner des retards et du stress. Je suis encore aux prises avec la procrastination, mais grâce à l’autoréflexion et aux stratégies que j’ai adoptées, j’ai pris le contrôle de ma vie et vous pouvez en faire autant.

Gagner le combat contre la procrastination n’est pas chose facile, et même en suivant ces conseils, la réussite n’est pas garantie. Toutefois, ils permettent de trouver de la motivation et de favoriser la maîtrise de soi tout au long de son parcours universitaire. Faire le premier pas n’est jamais aisé, mais la constance est essentielle. Adoptez donc ces outils et n’oubliez pas qu’il s’agit d’une quête de l’amélioration, et non de la perfection. Vous y arriverez !

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Cet article a été rédigé par le Bureau de recrutement au premier cycle de la Lakehead University (www.lakeheadu.ca)

Vers la fin de la dernière année du secondaire, il est temps de prendre d’importantes décisions concernant la suite de ses études, et ce n’est pas toujours facile. Certains savent exactement ce qu’ils veulent faire plus tard dans la vie et comment s’y prendre pour y arriver. D’autres n’en ont pas la moindre idée.

Il ne faut pas trop s’en faire, car ce n’est pas vraiment un problème. Même si vos parents, amis ou enseignants font pression pour que vous fassiez des choix, vous n’avez pas à prendre une décision définitive dès maintenant.

Les nouvelles expériences, la recherche d’un programme et d’une carrière ainsi que les essais sont autant de précieux éléments qui constituent une formation universitaire. Avant d’arriver à l’université, les seules matières que vous avez étudiées sont celles qui sont nécessaires à l’obtention du diplôme d’études secondaires, mais bien peu des matières qu’on enseigne à l’université. La plupart des étudiants n’ont, par exemple, jamais suivi de cours dans les domaines de la sociologie, des études féminines, de la foresterie, du plein air, du commerce, des études autochtones ou du travail social. Comment choisir un programme sans avoir eu un avant-goût de ces matières? Afin que vous puissiez essayer différentes matières au cours des deux premières années d’études universitaires, chaque programme propose des cours au choix.

Ne craignez rien, il est possible de changer de programme d’études. Ce choix n’est pas coulé dans le béton. L’étudiant nord-américain moyen changera de programme trois fois pendant ses études et plusieurs fois de carrière au cours de sa vie. Bon nombre de parents, d’organismes subventionnaires et même d’étudiants aimeraient qu’une décision définitive soit prise dès le début des études, mais ce n’est pas la voie qui mène à une formation et à une expérience des plus enrichissantes. La formation universitaire a justement comme objectif de vous offrir de nouvelles façons de réfléchir et de concevoir le monde, alors pourquoi restreindre cette expérience dès le début?

Choisir un programme d’études

Qu’est-ce qu’une majeure?

Mon programme détermine-t-il ma profession?

Parfois. Par exemple, si vous choisissez d’étudier en sciences infirmières, en génie, en travail social ou en éducation, vous accéderez directement à une profession.

Parfois, ce n’est pas le cas. Par exemple, les études en sociologie mènent à un vaste choix de carrières qui requièrent des compétences d’analyse, de pensée critique et de communication acquises au baccalauréat. Examinez les différentes options et informez-vous du parcours qu’il faut suivre pour accéder aux postes qui vous intéressent. Vous constaterez qu’une formation au premier cycle vous donne accès à des compétences qui permettent de faire beaucoup de choses.

Des centaines de possibilités et de combinaisons s’offrent à vous à l’université. C’est bien d’avoir le choix. Faites bien vos recherches, et si vous devez changer de majeure, demandez à un conseiller pédagogique de vous guider pour connaître les options qui sont offertes.

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Arriver à l’université, c’est débuter une aventure pleine de promesses, mais aussi parfois marquée de difficultés. Pour nombre de personnes – qu’elles soient du Canada ou d’ailleurs – cette période est synonyme d’une nouvelle indépendance, de défis scolaires et de grandes étapes de vie. Un réseau de soutien solide peut maximiser les chances d’une transition en douceur. Dans cet article, vous découvrirez les facteurs qui rendent ce réseau si précieux, des astuces pour le bâtir et les différentes ressources qui vous aideront à vous épanouir pendant votre première année universitaire au Canada.

L’importance du réseau de soutien

La première année universitaire en est une d’adaptation. Entre les nouvelles responsabilités, les rapports sociaux et les attentes scolaires, un bon réseau peut aider à naviguer les changements et être une source de soutien émotionnel, de conseils et d’astuces pratiques.

Ce qu’offre un réseau de soutien solide :

Nouvelles amitiés et rencontres

La première étape à suivre pour bâtir votre réseau est de rencontrer d’autres étudiantes et étudiants. Tout le monde est dans le même bateau – on cherche à nouer des amitiés et à s’adapter à son nouvel environnement de vie.

Si vous venez de l’étranger, il peut d’abord être intimidant de nouer de nouvelles amitiés, surtout lorsque la langue ou la culture diffère de la vôtre. Rappelez-vous que les campus canadiens sont très multiculturels, et que vous rencontrerez donc sûrement des gens avec le même bagage que vous.

Ressources universitaires

Les universités canadiennes vous offrent une panoplie de ressources pour vous accompagner sur les plans scolaire, social et émotionnel.

Si vous venez de l’étranger, vous pourriez aussi vous tourner vers le bureau des étudiantes et étudiants étrangers de votre établissement, qui pourrait vous proposer des ressources pour vous adapter à la vie au Canada, comme de l’accompagnement pour remplir les formulaires d’immigration, des conseils pour vous loger et des activités sociales.

Liens universitaires

Vous avez beaucoup à gagner en tissant des liens avec les personnes qui vous enseignent et les conseillères et conseillers pédagogiques de votre établissement.

Vos liens universitaires ne vous aident pas seulement à obtenir de meilleures notes, ils vous donnent aussi plus de chances de participer à des travaux de recherche ou à des stages, ou d’obtenir des lettres de recommandation qui vous seront utiles au travail et à l’école.

Équilibre vie personnelle et sociale

La richesse d’un réseau de soutien ne se limite pas à son effet sur votre réussite universitaire – votre réseau vous permet aussi de garder un certain équilibre de vie.

Adaptation aux différences culturelles (pour les étudiantes et étudiants étrangers)

Si vous venez de l’étranger, l’expérience universitaire peut être d’autant plus complexe que vous devez vous adapter à la culture locale, mais votre parcours peut aussi en être d’autant plus enrichi.

Astuces pour entretenir votre réseau

Une fois votre réseau bâti, vous devez l’entretenir. Il faut s’investir pour nouer des liens solides, mais les bénéfices en valent la peine.

L’un des meilleurs gestes que vous pouvez poser pour maximiser vos chances d’une transition universitaire plaisante et en douceur est de bâtir votre réseau dès votre première année. Que vous veniez du Canada ou d’ailleurs, vous pourrez mieux faire face aux aléas de la vie universitaire en apprenant à connaître vos pairs, les membres du corps professoral et les ressources qui s’offrent à vous. N’oubliez pas que l’université n’est pas qu’une affaire d’études – c’est l’occasion de nouer des liens durables et de vous bâtir un réseau qui vous aidera à réussir dans votre parcours scolaire comme dans la vie.

En posant de petits gestes pour faire des rencontres, en demandant de l’aide et en gardant l’équilibre entre votre vie universitaire et votre vie personnelle, vous aurez un entourage solide qui pourra vous accompagner et grâce auquel vous pourrez profiter au maximum de l’expérience universitaire.

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Par Mohamed Berrada

Lorsque vous commencez l’université, l’une de vos priorités est de bien organiser votre emploi du temps au quotidien. Concilier les cours, les travaux, les activités sociales et probablement même un emploi à temps partiel s’avère un vrai casse-tête, surtout pour les jeunes adultes que vous êtes. N’ayez crainte, avec une bonne organisation et quelques astuces, il est tout à fait possible de trouver un équilibre qui vous permettra de réussir sans vous surmener.  

Voici quelques conseils pour optimiser votre emploi du temps et bien gérer études, loisirs et travail étudiant. 

Organiser son emploi du temps dès le début de l’année 

Une bonne organisation est essentielle pour éviter le stress et le surmenage, surtout lorsque les échéances s’accumulent.  

Utiliser des outils de gestion de tâches 

Il existe aujourd’hui une multitude d’applications et d’outils pour vous aider vous organiser et à gérer vos tâches. Voici quelques suggestions qui pourraient vous être utiles : 

Trouver un équilibre sain entre études, loisirs et travail 

Beaucoup d’étudiantes et d’étudiants choisissent de travailler à temps partiel pour subvenir à leurs besoins, mais il est important de trouver un bon équilibre entre les études, le travail et les loisirs.  

Techniques pour améliorer sa productivité 

Avec une bonne organisation et un emploi du temps bien rempli, il est important de maximiser votre productivité pour éviter de passer des heures à travailler sans résultat.  

Optimiser son emploi du temps est essentiel pour réussir ses études tout en conservant une vie équilibrée. En suivant ces conseils et en utilisant les outils disponibles, vous pouvez non seulement améliorer votre productivité, mais aussi trouver un bon équilibre entre vos responsabilités et vos loisirs. Que vous jongliez avec des études, un emploi à temps partiel ou simplement votre vie sociale, une bonne organisation vous permettra de profiter pleinement de votre expérience universitaire sans stress inutile. 

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