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Cet article a été rédigé par Dan Seneker, directeur du recrutement au premier cycle à la University of Saskatchewan.
Choisir quoi faire après l’école secondaire constitue une des décisions les plus importantes d’une vie, au même titre que de se marier, d’avoir des enfants, de quitter la maison familiale et d’acheter sa première propriété.
Le but n’est pas de vous effrayer ou de vous rendre encore plus nerveux, mais en réalité la plupart des adolescents passeront plus de temps à choisir une auto qu’à choisir l’université ou le collège qu’ils fréquenteront.
Pensez-y : vous garderez votre auto pendant cinq à 10 ans, tandis que vos choix d’études auront une incidence sur le reste de votre vie.
Les jeunes d’aujourd’hui jouissent d’un avantage par rapport aux générations précédentes : ils ont accès à un éventail de programmes d’études et de carrières.
Les possibilités se comptent par milliers, et bon nombre d’entre elles n’existaient tout simplement pas il y a quelques décennies. Comment alors arrêter son choix sur un programme et une université? Certains étudiants se lancent dans le processus de demandes d’admission sans réelle stratégie, et voient comme un concours le nombre d’écoles susceptibles de les accepter. Croyez-le ou non, certains présentent une demande d’admission dans 50 programmes d’études, parfois plus. Cela représente des frais de 4 000 à 5 000 $CAN environ, sans compter le temps perdu. Cet argent serait sans doute mieux investi dans l’achat d’une nouvelle auto!
Vous serez sans doute surpris d’apprendre que le chiffre magique n’est que cinq demandes d’admission, pas une de plus. Voici donc quelques conseils et stratégies à mettre en pratique pour vous limiter à cinq demandes.
Vos premiers choix
Vos deux premiers choix sont faciles à déterminer : on peut les qualifier de choix « amusant » et « prudent ».
Le premier correspond à votre école de rêve, celle que vous fréquenteriez s’il n’y avait aucun obstacle sur votre route. Si vous faites fi de l’aspect financier et de toute autre difficulté, où voudriez-vous étudier? Dans une des meilleures universités du monde? Dans un établissement situé sur la Gold Coast de l’Australie? Dans une université axée sur les arts libéraux et située dans une petite ville accueillante? Faites un choix en ne pensant qu’à vous.
Pour équilibrer les choses, faites ensuite preuve de prudence en optant pour un établissement où vous avez bon espoir d’être accepté. N’oubliez pas de demeurer réaliste. N’optez pas pour un établissement de la Ivy League si vous peinez à maintenir une moyenne de 75 pour cent. Faites vos recherches et sélectionnez une école qui offre le programme d’études que vous souhaitez et qui exige une moyenne minimale que vous êtes en mesure d’atteindre. Par exemple, si votre moyenne se situe à 75 pour cent, regardez du côté des programmes dont la moyenne minimale est de 70 pour cent.
À proximité de la maison
Vos trois autres choix répondent à différents critères, mais ils doivent tous constituer des options réalistes et représenter des établissements que vous serez heureux de fréquenter. Un de ces choix doit être « local », c’est-à-dire que l’établissement doit être situé près de la maison. Cette idée ne vous plaît peut-être pas, mais il peut se passer beaucoup de choses d’ici à ce que vous acceptiez cette offre. Qui sait ce que l’avenir vous réserve, et vous serez peut-être heureux d’avoir la possibilité de demeurer près de la maison. Parions que ce choix plaira également à papa et à maman, qui ont encore un mince espoir de vous garder près d’eux!
Les choix complémentaires
Il vous reste donc deux choix, et vous êtes libre d’en faire ce que bon vous semble. Vous devez cependant déterminer le type d’environnement dans lequel vous souhaitez évoluer au cours des trois ou quatre prochaines années.
Le Canada dispose d’un excellent système d’éducation postsecondaire, formé d’établissements de grande qualité qui sont loin de se limiter aux grandes universités auxquelles tout le monde pense d’emblée. Un peu partout au pays, il existe également des établissements de petite et de moyenne taille qui dispensent un enseignement de qualité reconnu mondialement. Vous voilà rassuré sur la qualité de la formation universitaire au Canada. Vous pouvez donc vous concentrer sur l’environnement d’études idéal pour vous, car c’est ce qui sera un facteur déterminant de votre réussite scolaire, plutôt que le nom de l’établissement sur votre diplôme.
Comme le veut l’expression, préférez-vous être un petit poisson dans une grande mare? Si tel est le cas, optez pour un établissement de grande taille qui compte plus de 30 000 étudiants, où vous pourrez passer inaperçu, sans personne pour surveiller vos moindres gestes. Vous devez vous tourner vers les grands centres urbains comme Toronto, Montréal, Québec, Winnipeg, Calgary, Edmonton et Vancouver, qui possèdent tous des universités classées dans cette catégorie.
Souhaitez-vous plutôt être un petit poisson dans une petite mare? Renseignez-vous sur les établissements de petite ou de moyenne taille, qui comptent de 1 000 à 25 000 étudiants. Ils sont établis dans des villes comme Halifax, Sherbrooke, Kingston, Peterborough, Thunder Bay, Saskatoon et Victoria. On les retrouve également dans des régions plus rurales, comme Antigonish, Wolfville, Sackville ou Lennoxville. Et qu’en est-il des « gros poissons », ces leaders dans l’âme qui aiment participer à une multitude d’activités? Si vous êtes de ces étudiants à l’affût de toutes les occasions, le type d’établissement importe peu, mais tentez tout de même de trouver un établissement qui vous convient.
La question de l’adéquation
Lorsqu’il est question de choisir une université, on entend souvent parler « d’adéquation » avec l’établissement, un phénomène à ne pas négliger. Combien de fois avez-vous entendu vos amis ou les amis de vos amis dire à quel point une université est nulle, et que c’est ce qui explique pourquoi ils ont échoué ou choisi de ne pas y retourner. Rien n’est plus faux.
Généralement, l’échec s’explique plutôt par le fait que ces étudiants n’ont pas su choisir une université adéquate et qu’ils n’adhèrent pas à la philosophie du campus. Par exemple, ils souhaitaient passer inaperçu dans le flot d’étudiants, mais ont opté pour un établissement dont les effectifs ne dépassent pas 1 000; ils recherchaient un milieu tissé serré, mais ont choisi une école dont les classes sont plus populeuses que leur ville natale; ils voulaient avoir accès à une grande variété d’activités intramurales, mais se sont retrouvés sur un campus qui accueille principalement des étudiants externes; pire encore, ils ont préféré suivre leurs amis du secondaire. Peu importe le scénario, ils n’ont pas fait leurs recherches…mais ils conduisent peut-être l’auto de leurs rêves!
Ce sont là quelques conseils pour vous aider à prendre la meilleure décision. Limitez-vous à cinq choix, montrez-vous stratégique, soyez réaliste quant à ce que vous pouvez accomplir (et vous permettre) et faites vos recherches afin de sélectionner l’établissement approprié pour vous – pas pour vos amis ou vos parents. Bonne chance!
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Cet article a été rédigé par le Bureau de recrutement au premier cycle de la Lakehead University (www.lakeheadu.ca)
Vers la fin de la dernière année du secondaire, il est temps de prendre d’importantes décisions concernant la suite de ses études, et ce n’est pas toujours facile. Certains savent exactement ce qu’ils veulent faire plus tard dans la vie et comment s’y prendre pour y arriver. D’autres n’en ont pas la moindre idée.
Il ne faut pas trop s’en faire, car ce n’est pas vraiment un problème. Même si vos parents, amis ou enseignants font pression pour que vous fassiez des choix, vous n’avez pas à prendre une décision définitive dès maintenant.
Les nouvelles expériences, la recherche d’un programme et d’une carrière ainsi que les essais sont autant de précieux éléments qui constituent une formation universitaire. Avant d’arriver à l’université, les seules matières que vous avez étudiées sont celles qui sont nécessaires à l’obtention du diplôme d’études secondaires, mais bien peu des matières qu’on enseigne à l’université. La plupart des étudiants n’ont, par exemple, jamais suivi de cours dans les domaines de la sociologie, des études féminines, de la foresterie, du plein air, du commerce, des études autochtones ou du travail social. Comment choisir un programme sans avoir eu un avant-goût de ces matières? Afin que vous puissiez essayer différentes matières au cours des deux premières années d’études universitaires, chaque programme propose des cours au choix.
Ne craignez rien, il est possible de changer de programme d’études. Ce choix n’est pas coulé dans le béton. L’étudiant nord-américain moyen changera de programme trois fois pendant ses études et plusieurs fois de carrière au cours de sa vie. Bon nombre de parents, d’organismes subventionnaires et même d’étudiants aimeraient qu’une décision définitive soit prise dès le début des études, mais ce n’est pas la voie qui mène à une formation et à une expérience des plus enrichissantes. La formation universitaire a justement comme objectif de vous offrir de nouvelles façons de réfléchir et de concevoir le monde, alors pourquoi restreindre cette expérience dès le début?
Choisir un programme d’études
- Certains programmes mènent directement vers une carrière après les études, ce sont par exemple les programmes professionnels comme le génie, le travail social, les sciences infirmières ou l’éducation.
- Il est important de discuter de vos choix avec vos professeurs, vos amis, les membres de votre famille et d’autres étudiants.
- Évaluez vos compétences afin de voir si elles correspondent à vos intérêts, et informez-vous sur les possibilités qui s’offrent à vous dans différents domaines.
- Si vous êtes indécis, mais voulez étudier en sciences humaines (français, histoire, philosophie, etc.), inscrivez-vous en sciences humaines pour savoir si vous vous y plaisez. Comme il y a beaucoup de cours au choix en première et en deuxième année, vous aurez l’occasion de trouver ce qui vous intéresse vraiment et de modifier au besoin vos choix en cours de route.
- Si vous voulez étudier en sciences mais sans trop savoir laquelle, les cours au choix en première année vous permettront d’essayer différentes matières et de cerner celle que vous préférez.
- Si vous hésitez entre le baccalauréat régulier (de trois ans) et le baccalauréat spécialisé (de quatre ans), choisissez le baccalauréat spécialisé. Vous pouvez toujours revenir au programme régulier, mais non l’inverse.
Qu’est-ce qu’une majeure?
- Une majeure est une concentration de cours dans des matières qui orienteront votre formation universitaire et intellectuelle.
- Les matières de la majeure devraient vous intéresser et vous enthousiasmer.
- Entre le tiers et les trois quarts de vos cours composent la majeure, selon le domaine.
- Elle n’est qu’une des pièces du puzzle de votre formation universitaire.
- Elle ne définit pas nécessairement votre futur parcours professionnel.
Mon programme détermine-t-il ma profession?
Parfois. Par exemple, si vous choisissez d’étudier en sciences infirmières, en génie, en travail social ou en éducation, vous accéderez directement à une profession.
Parfois, ce n’est pas le cas. Par exemple, les études en sociologie mènent à un vaste choix de carrières qui requièrent des compétences d’analyse, de pensée critique et de communication acquises au baccalauréat. Examinez les différentes options et informez-vous du parcours qu’il faut suivre pour accéder aux postes qui vous intéressent. Vous constaterez qu’une formation au premier cycle vous donne accès à des compétences qui permettent de faire beaucoup de choses.
Des centaines de possibilités et de combinaisons s’offrent à vous à l’université. C’est bien d’avoir le choix. Faites bien vos recherches, et si vous devez changer de majeure, demandez à un conseiller pédagogique de vous guider pour connaître les options qui sont offertes.
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Par Claire Hutcheon
Mon passage du secondaire à l’université a été une expérience surréaliste. Adieu à la routine scolaire quotidienne qui me maintenait sur la bonne voie et au revoir aux parents ou enseignantes et enseignants qui me rappelaient sans cesse de faire mes travaux et d’étudier pour mes examens. J’étais finalement une adulte, responsable de mes propres décisions et de ma gestion du temps, délivrée de toute structure, libérée.
Ce sentiment a duré environ un mois, jusqu’au jour où je me suis rendu compte d’un examen de mi-session que j’avais fini par oublier, après en avoir reporté la préparation à plusieurs reprises. J’ai raté l’examen et j’ai dû abandonner le cours, ce qui a été inscrit sur mon relevé de notes.
Qu’il s’agisse de répondre tardivement à un courriel, d’attendre à la dernière minute pour étudier avant un examen ou de retarder un travail, presque tout le monde s’est déjà retrouvé piégé dans le cycle familier du « je le ferai plus tard ».
L’entrée à l’université pourrait mener à votre première expérience avec la procrastination ; ou alors, vous en avez déjà l’habitude et vous connaissez très bien les difficultés qu’elle entraîne.
Malheureusement, la procrastination peut nuire à la réussite en engendrant une baisse des résultats aux examens, un ralentissement de l’avancement professionnel, une anxiété accrue et une diminution de l’estime de soi. Elle peut même vous empêcher de terminer vos études. Si l’idéal est de tuer la procrastination dans l’œuf, il faut à tout le moins savoir s’en sortir — et ça commence par comprendre la cause du problème.
La procrastination ne consiste pas seulement à reporter intentionnellement des tâches ; c’est un processus irrationnel qui se produit malgré les conséquences négatives, car il est gratifiant pour le cerveau.
Lorsque vous prenez une telle décision, la tension se dissipe, cédant la place à du plaisir initié par le mécanisme de récompenses de votre corps qui ne tient pas compte de la notion du temps.
Vous continuez alors à remettre votre travail au lendemain pour revivre ces « sensations agréables ». C’est ainsi que vous entrez dans un cercle vicieux jusqu’à la date limite.
Une autre forme de procrastination consiste à accomplir les petites tâches sans grande importance. Par exemple, laver la vaisselle plutôt qu’étudier pour un examen final. Ainsi, vous évitez la tâche principale en vous distrayant avec quelque chose de productif, ce qui vous procure un sentiment de satisfaction.
C’est une souque à la corde avec la maîtrise de soi, tout comme lorsque vous grattez une croûte ou mangez au-delà de votre faim. Lorsqu’elle devient une habitude, la procrastination devient difficile à surmonter. D’où le dicton « les vieilles habitudes ont la vie dure ».
Alors, comment pouvez-vous tourner le dos à la procrastination ?
En toute honnêteté, je n’ai pas abandonné mes habitudes en claquant des doigts. Mais, après des années passées à apprendre ma leçon encore et encore, je me suis beaucoup améliorée et j’ai même élaboré quelques astuces sur lesquelles m’appuyer lorsque je sens que je perds la bataille.
Voici quelques façons de remettre au lendemain votre procrastination à l’université.
Avalez le crapaud
Comme l’a dit Mark Twain « si vous devez avaler un crapaud vivant, mieux vaut le faire le matin à la première heure et rien de pire ne pourra vous arriver pour le restant de la journée ». En d’autres mots, si vous vous attaquez à la tâche la plus importante de la journée avant tout le reste, vous vaincrez la tentation de procrastiner.
Certes, vous devrez adapter vos matinées pour avaler votre crapaud, mais il s’agit d’un moyen efficace de commencer la journée du bon pied et d’éviter d’accorder la priorité aux petites tâches plutôt qu’aux plus ardues et importantes.
Ou encore, ne faites rien !
Je sais que cela peut paraître tout sauf productif. Ne devrais-je pas dire « entamez simplement votre tâche » ? Cependant, la plupart des personnes qui procrastinent ne sont pas paresseuses, elles accomplissent simplement des choses moins importantes et qui procurent une satisfaction plus immédiate, afin d’éviter les tâches plus importantes et anxiogènes.
La méthode « ou encore, ne faites rien » consiste à réserver une certaine plage horaire dans la journée pour travailler, disons 90 minutes. Vous n’avez pas à travailler sur votre grosse tâche effrayante pendant cette période, mais vous ne pouvez rien faire d’autre. Interdiction de vous distraire avec votre téléphone, de dormir, de ranger votre chambre ou de faire la vaisselle. Vous devez simplement vous asseoir et ne rien faire.
Éventuellement, vous commencerez doucement à travailler et, lorsque vous sentirez que votre esprit part à la dérive, arrêtez-vous et fixez le mur. Ne rien faire vous donnera l’impression de prendre une pause, sans que cela soit suffisant pour vous distraire.
Planifiez votre journée avant même qu’elle ne commence
Le fait de planifier sa journée au réveil peut être chronophage et réduire le temps dont on dispose pour travailler. En le faisant la veille, vous réduirez le nombre de décisions à prendre sur-le-champ. Ainsi, vous commencerez votre journée avec un sentiment d’accomplissement et en sachant déjà ce que vous avez à faire en premier.
Faites une liste, puis réduisez-la de moitié
Il est facile de se laisser absorber par des tâches moins importantes lorsqu’on est en train de procrastiner ou à deux doigts de le faire. Le simple fait d’avoir trop de choses à faire dans une journée peut être accablant et vous pousser à la procrastination.
Lorsque vous dressez votre liste de choses à faire, écrivez tout ce qui vous vient à l’esprit. Ensuite, rayez les tâches les moins importantes et les moins urgentes pour ne laisser que celles qui doivent absolument être accomplies.
Ainsi, vous pourrez mieux vous concentrer et serez moins susceptible de vous laisser distraire par le travail peu important, mais gratifiant.
Adaptez votre environnement
Ma tendance à la procrastination me crée également de l’anxiété de ratage et de grandes insécurités. Lorsqu’un travail me rend à bout de nerfs, mon réflexe initial est de sortir de chez moi. Je trouve qu’il y a beaucoup trop de distractions lorsque j’essaie de travailler dans ma chambre ou à la table à manger, surtout en l’absence d’une personne qui me reprocherait de ne pas travailler.
Lorsque je vais dans un café ou à la bibliothèque, je transforme mes propres insécurités en alliées, et me mets au travail par peur d’être jugée. La pression sociale que je ressens quand je suis entourée de personnes productives fait des merveilles pour moi.
Si le bruit et les mouvements incessants vous empêchent de travailler dans un endroit public, cherchez un endroit calme où vous pourrez vous asseoir et vous concentrer. Éliminez toutes les distractions et mettez tous vos appareils en mode « Ne pas déranger ». Il faut parfois se mettre dans une bulle pour pouvoir se concentrer sur son travail.
Pour bon nombre de personnes, la procrastination est une lutte constante, en particulier à l’université, où ces nouveaux sentiments de liberté et d’indépendance peuvent rapidement entraîner des retards et du stress. Je suis encore aux prises avec la procrastination, mais grâce à l’autoréflexion et aux stratégies que j’ai adoptées, j’ai pris le contrôle de ma vie et vous pouvez en faire autant.
Gagner le combat contre la procrastination n’est pas chose facile, et même en suivant ces conseils, la réussite n’est pas garantie. Toutefois, ils permettent de trouver de la motivation et de favoriser la maîtrise de soi tout au long de son parcours universitaire. Faire le premier pas n’est jamais aisé, mais la constance est essentielle. Adoptez donc ces outils et n’oubliez pas qu’il s’agit d’une quête de l’amélioration, et non de la perfection. Vous y arriverez !
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