Current Language: fr
Post ID: 1254
Related Posts Count: 3
string(1709) "SELECT SQL_CALC_FOUND_ROWS s.id,s.source,s.site,SUM(relevance) AS relevance FROM (SELECT s.id,s.source,s.site,s.attribute,((SUM(s.occurrences) * CASE WHEN ( (s.source = 'post.post' AND (s.attribute IN ('title','taxonomy.category','taxonomy.po_type'))) ) THEN 300 END) ) AS relevance FROM wp_searchwp_index s LEFT JOIN wp_posts s1 ON (s1.ID = s.id) LEFT JOIN wp_posts swpwpml1 ON swpwpml1.ID = s.id LEFT JOIN wp_icl_translations swpwpmlicl1 ON ( swpwpmlicl1.element_id = swpwpml1.ID AND swpwpmlicl1.element_type = CONCAT('post_', swpwpml1.post_type) ) WHERE 1=1 AND 1=1 AND s.token IN (7945,1805,7692,1046,7379,3182,1688,248,1104,228) AND (( `s`.`id` NOT IN ( 1254 ) )) AND ( ! ( s.site = 1 AND s.source = 'post.post' ) OR (s.site = 1 AND s.source = 'post.post' AND 1=1 AND ( swpwpmlicl1.language_code = 'fr' ) )) AND ((s.source = 'post.post' AND (s.attribute IN ('title','taxonomy.category','taxonomy.po_type')) AND ( ( `s1`.`post_type` = 'post' ) AND ( `s1`.`post_status` IN ( 'publish', 'acf-disabled' ) ) ))) GROUP BY s.site,s.source,s.attribute,s.id) AS s LEFT JOIN wp_posts s1 ON (s1.ID = s.id) LEFT JOIN wp_posts swpwpml1 ON swpwpml1.ID = s.id LEFT JOIN wp_icl_translations swpwpmlicl1 ON ( swpwpmlicl1.element_id = swpwpml1.ID AND swpwpmlicl1.element_type = CONCAT('post_', swpwpml1.post_type) ) WHERE 1=1 AND (SUBSTRING(s.source, 1, 5) != 'post.' OR (SUBSTRING(s.source, 1, 5) = 'post.' AND s.id != '0')) GROUP BY s.site, s.source, s.id HAVING relevance > 0 ORDER BY relevance DESC LIMIT 0, 3 /* From [www.etudesuniversitaires.ca/vous-voulez-vous-sortir-du-cycle-de-la-procrastination-voici-comment-faire/] in [/nas/content/live/universitystud/wp-content/plugins/searchwp/includes/Query.php:872] */"
array(3) {
[0]=>
object(WP_Post)#6478 (24) {
["ID"]=>
int(1448)
["post_author"]=>
string(3) "173"
["post_date"]=>
string(19) "2025-08-22 14:01:33"
["post_date_gmt"]=>
string(19) "2025-08-22 18:01:33"
["post_content"]=>
string(6149) "
À mes débuts à l’université, je souhaitais secrètement un nouveau départ.
Ce n’est pas que mon passage à l’école secondaire a été marqué par le harcèlement ou d’autres drames. Simplement, je ne trouvais pas ma place. J’errais d’un groupe à l’autre, je passais ma pause-dîner à la bibliothèque... J’avais souvent l’impression d’assister à une scène sans en faire partie. Je me disais : « À l’université, ce sera différent. » Sans plan précis, je me raccrochais à cet espoir.
Et nouveau départ il y eut. Mais le changement n’est pas arrivé du jour au lendemain. J’ai d’abord vécu de petits moments – provoqués ou non – qui m’ont fait sentir qu’on me voyait, qu’on m’incluait, et qu’on fraternisait avec moi.
L’une de mes premières surprises a été de constater qu’à l’université, personne ne se soucie de ce qu’on a pu être à l’école secondaire. On remettait les compteurs à zéro, personne ne se connaissait, et beaucoup souhaitaient se réinventer. Durant l’orientation, quelqu’un m’a dit : « J’étais très timide au secondaire. J’essaie ici de sortir un peu plus de ma coquille, alors merci de ton indulgence. » Ça m’est resté en tête. Pour la première fois, je voyais quelqu’un qui tentait, tout comme moi, de trouver sa voie. Je me suis alors permis, moi aussi, d’essayer des choses.
J’ai senti qu’on m’accueillait sans que j’aie à m’illustrer ou à impressionner. Ma présence suffisait.
Les premières semaines étaient à la fois bizarres et étonnamment pleines de sens. Tout le monde montrait de l’ouverture, de la curiosité et une volonté de nouer des liens. J’ai fait l’effort de participer à une activité d’accueil, soit celle organisée par le Bureau de l’expérience étudiante. Même si j’ai bien failli me désister, cet événement a marqué un tournant. J’ai pu y discuter avec une personne qui déteste les activités brise-glace autant que moi, et notre amitié perdure depuis ce jour-là. Ça m’a rappelé qu’une amitié peut naître sans présentation parfaite et qu’il suffit parfois d’une gêne commune pour tisser un lien.
J’ai alors commencé à faire de petits gestes pour rencontrer des personnes. J’ai salué quelqu’un dans un cours. J’ai intégré un club qui m’intéressait. Et surtout, j’ai arrêté d’éprouver du malaise face aux activités sur le campus. Les activités de vie étudiante et les clubs servent à bien plus que passer le temps : c’est l’occasion de se trouver des affinités avec d’autres personnes. En intégrant le journal étudiant, j’ai fait la connaissance d’étudiantes et d’étudiants passionnés, créatifs et aimables, et j’ai senti qu’on m’accueillait sans que j’aie à m’illustrer ou à impressionner. Ma présence suffisait.
Ce ne fut pas toujours facile. Il n’est pas nécessairement naturel pour un adulte de nouer de nouvelles amitiés. Il n’y a pas de places désignées ou de projets en groupe pour forcer les interactions. Il faut une pincée de courage, peut-être un peu de maladresse et la volonté d’engager des conversations qui risquent de ne mener nulle part. J’ai commencé avec des questions simples comme « Connais-tu ce professeur? » ou encore « Est-ce que la place est libre? ». C’était suffisant pour que, parfois, une amitié naisse.
Je ne m’attendais pas à ce que lier de véritables amitiés soit si long. Ça ne se passe pas comme dans les films, où l’héroïne trouve sa meilleure amie dès la première semaine. Il faut du temps. Mais j’ai persévéré, me présentant aux réunions de club, en classe, aux activités en résidence... Au fil du temps, certains visages sont devenus familiers. Les visages familiers sont devenus des connaissances. Et les connaissances sont devenues des amitiés. Certaines personnes que j’avais à peine remarquées en septembre faisaient partie de mes amis les plus proches au printemps.
Nul besoin de se réinventer ou de devenir un moulin à paroles. Il suffit de rester soi-même, et de trouver le courage d’essayer.
Maintenant que je suis en quatrième année, même si j’ai un réseau très soudé, il m’arrive encore de chercher ma place. Mais j’ai appris qu’une solitude occasionnelle n’a rien à voir avec l’échec. C’est tout simplement le propre de l’humain. Tout le monde évolue à sa manière, même ceux qui affichent une confiance absolue.
À celles et ceux qui arrivent à l’université avec le même sentiment qui m’habitait, en espérant améliorer les choses, sachez que vous n’êtes pas seuls. Il y a des personnes sur le campus qui veulent elles aussi tisser des liens. J’ai réussi en prenant de petits risques, en tolérant le malaise et en disant « oui » plus souvent que « non ».
Nul besoin de se réinventer ou de devenir un moulin à paroles. Il suffit de rester soi-même, et de trouver le courage d’essayer.
Votre réseau vous attend. Ne renoncez pas.
Vous y arriverez!
"
["post_title"]=>
string(95) "Votre passage au secondaire a été solitaire? Voici comment nouer des liens à l’université"
["post_excerpt"]=>
string(0) ""
["post_status"]=>
string(7) "publish"
["comment_status"]=>
string(4) "open"
["ping_status"]=>
string(4) "open"
["post_password"]=>
string(0) ""
["post_name"]=>
string(87) "votre-passage-au-secondaire-a-ete-solitaire-voici-comment-nouer-des-liens-a-luniversite"
["to_ping"]=>
string(0) ""
["pinged"]=>
string(0) ""
["post_modified"]=>
string(19) "2025-08-22 14:07:08"
["post_modified_gmt"]=>
string(19) "2025-08-22 18:07:08"
["post_content_filtered"]=>
string(0) ""
["post_parent"]=>
int(0)
["guid"]=>
string(34) "https://universitystudy.ca/?p=1448"
["menu_order"]=>
int(0)
["post_type"]=>
string(4) "post"
["post_mime_type"]=>
string(0) ""
["comment_count"]=>
string(1) "0"
["filter"]=>
string(3) "raw"
}
[1]=>
object(WP_Post)#6480 (24) {
["ID"]=>
int(1006)
["post_author"]=>
string(1) "9"
["post_date"]=>
string(19) "2015-08-13 00:35:00"
["post_date_gmt"]=>
string(19) "2015-08-13 00:35:00"
["post_content"]=>
string(6491) "
Cet article a été rédigé par le Bureau de recrutement au premier cycle de la Lakehead University (www.lakeheadu.ca)
Vers la fin de la dernière année du secondaire, il est temps de prendre d’importantes décisions concernant la suite de ses études, et ce n’est pas toujours facile. Certains savent exactement ce qu’ils veulent faire plus tard dans la vie et comment s’y prendre pour y arriver. D’autres n’en ont pas la moindre idée.
Il ne faut pas trop s’en faire, car ce n’est pas vraiment un problème. Même si vos parents, amis ou enseignants font pression pour que vous fassiez des choix, vous n’avez pas à prendre une décision définitive dès maintenant.
Les nouvelles expériences, la recherche d’un programme et d’une carrière ainsi que les essais sont autant de précieux éléments qui constituent une formation universitaire. Avant d’arriver à l’université, les seules matières que vous avez étudiées sont celles qui sont nécessaires à l’obtention du diplôme d’études secondaires, mais bien peu des matières qu’on enseigne à l’université. La plupart des étudiants n’ont, par exemple, jamais suivi de cours dans les domaines de la sociologie, des études féminines, de la foresterie, du plein air, du commerce, des études autochtones ou du travail social. Comment choisir un programme sans avoir eu un avant-goût de ces matières? Afin que vous puissiez essayer différentes matières au cours des deux premières années d’études universitaires, chaque programme propose des cours au choix.
Ne craignez rien, il est possible de changer de programme d’études. Ce choix n’est pas coulé dans le béton. L’étudiant nord-américain moyen changera de programme trois fois pendant ses études et plusieurs fois de carrière au cours de sa vie. Bon nombre de parents, d’organismes subventionnaires et même d’étudiants aimeraient qu’une décision définitive soit prise dès le début des études, mais ce n’est pas la voie qui mène à une formation et à une expérience des plus enrichissantes. La formation universitaire a justement comme objectif de vous offrir de nouvelles façons de réfléchir et de concevoir le monde, alors pourquoi restreindre cette expérience dès le début?
Choisir un programme d’études
- Certains programmes mènent directement vers une carrière après les études, ce sont par exemple les programmes professionnels comme le génie, le travail social, les sciences infirmières ou l’éducation.
- Il est important de discuter de vos choix avec vos professeurs, vos amis, les membres de votre famille et d’autres étudiants.
- Évaluez vos compétences afin de voir si elles correspondent à vos intérêts, et informez-vous sur les possibilités qui s’offrent à vous dans différents domaines.
- Si vous êtes indécis, mais voulez étudier en sciences humaines (français, histoire, philosophie, etc.), inscrivez-vous en sciences humaines pour savoir si vous vous y plaisez. Comme il y a beaucoup de cours au choix en première et en deuxième année, vous aurez l’occasion de trouver ce qui vous intéresse vraiment et de modifier au besoin vos choix en cours de route.
- Si vous voulez étudier en sciences mais sans trop savoir laquelle, les cours au choix en première année vous permettront d’essayer différentes matières et de cerner celle que vous préférez.
- Si vous hésitez entre le baccalauréat régulier (de trois ans) et le baccalauréat spécialisé (de quatre ans), choisissez le baccalauréat spécialisé. Vous pouvez toujours revenir au programme régulier, mais non l’inverse.
Qu’est-ce qu’une majeure?
- Une majeure est une concentration de cours dans des matières qui orienteront votre formation universitaire et intellectuelle.
- Les matières de la majeure devraient vous intéresser et vous enthousiasmer.
- Entre le tiers et les trois quarts de vos cours composent la majeure, selon le domaine.
- Elle n’est qu’une des pièces du puzzle de votre formation universitaire.
- Elle ne définit pas nécessairement votre futur parcours professionnel.
Mon programme détermine-t-il ma profession?
Parfois. Par exemple, si vous choisissez d’étudier en sciences infirmières, en génie, en travail social ou en éducation, vous accéderez directement à une profession.
Parfois, ce n’est pas le cas. Par exemple, les études en sociologie mènent à un vaste choix de carrières qui requièrent des compétences d’analyse, de pensée critique et de communication acquises au baccalauréat. Examinez les différentes options et informez-vous du parcours qu’il faut suivre pour accéder aux postes qui vous intéressent. Vous constaterez qu’une formation au premier cycle vous donne accès à des compétences qui permettent de faire beaucoup de choses.
Des centaines de possibilités et de combinaisons s’offrent à vous à l’université. C’est bien d’avoir le choix. Faites bien vos recherches, et si vous devez changer de majeure, demandez à un conseiller pédagogique de vous guider pour connaître les options qui sont offertes.
"
["post_title"]=>
string(40) "Comment choisir un programme d’études"
["post_excerpt"]=>
string(0) ""
["post_status"]=>
string(7) "publish"
["comment_status"]=>
string(4) "open"
["ping_status"]=>
string(4) "open"
["post_password"]=>
string(0) ""
["post_name"]=>
string(28) "how-to-choose-your-program-2"
["to_ping"]=>
string(0) ""
["pinged"]=>
string(0) ""
["post_modified"]=>
string(19) "2024-10-26 00:38:28"
["post_modified_gmt"]=>
string(19) "2024-10-26 00:38:28"
["post_content_filtered"]=>
string(0) ""
["post_parent"]=>
int(0)
["guid"]=>
string(56) "https://universitystudy.ca/how-to-choose-your-program-2/"
["menu_order"]=>
int(0)
["post_type"]=>
string(4) "post"
["post_mime_type"]=>
string(0) ""
["comment_count"]=>
string(1) "0"
["filter"]=>
string(3) "raw"
}
[2]=>
object(WP_Post)#6481 (24) {
["ID"]=>
int(1407)
["post_author"]=>
string(3) "173"
["post_date"]=>
string(19) "2025-06-04 10:55:09"
["post_date_gmt"]=>
string(19) "2025-06-04 14:55:09"
["post_content"]=>
string(8643) "
Par Lisha Lao, Carleton University
J’avais 18 ans quand j’ai amorcé mes études universitaires, en 2022. J’ai déménagé de Toronto à Ottawa, et c’était la première fois que j’habitais seule. J’ai eu tellement de difficultés. Je me sentais seule, j’avais peur et je ne savais pas du tout où je m’en allais. Je me demandais sans cesse pourquoi j’avais déménagé à cinq heures de mes proches, et si mes études en journalisme en valaient vraiment la peine.
J’en suis maintenant à ma troisième année et je commence tout juste à me sentir à ma place et au bon endroit pour m’épanouir.
Par trois fois, j’ai changé de programme ou de concentration. C’était toujours difficile et décevant sur le coup, mais au bout du compte, c’était le bon choix.
Ma plus grosse difficulté, c’était que j’avais l’impression de devoir soigneusement choisir mon domaine d’études parce qu’il déterminerait mon identité future. Je croyais que je ne devais pas me sentir ambivalente par rapport à mes cours, que c’était un défaut. Je me pensais isolée et en retard sur les autres, alors qu’en réalité, mon parcours ne faisait que commencer.
Je me suis mise à l’écart, rongée par la crainte et par la honte, sans raison aucune. On n’a pas à s’isoler et à souffrir. Ce qui m’a vraiment aidée, c’est d’être enfin allée consulter ma conseillère pédagogique. Je lui ai parlé de mes doutes sur mes cours, et elle m’a aidée à en trouver d’autres qui concordaient davantage avec mes intérêts et qui m’aideraient sur le plan professionnel. Elle m’a conseillée sur la façon de discuter avec le corps professoral et m’a dirigée vers les services de santé mentale sur le campus. J’ai compris que je n’étais pas la seule dans ma situation et qu’il existait des services de soutien pensés précisément pour ce que je vivais.
Parlez à des personnes des années supérieures.
Il n’y a rien de farfelu à vouloir changer de programme ou de concentration, même que c’est plutôt répandu. Selon l’Université de Toronto, entre 50 et 70 % des étudiantes et étudiants changeront de concentration au moins une fois au cours de leurs études.
J’ai parlé avec du personnel conseiller, des professeures et professeurs, des auxiliaires d’enseignement et des étudiantes et étudiants des années supérieures. Chaque personne m’a appris quelque chose. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil : il est très probable qu’une autre personne ait vécu la même chose que vous et puisse vous accompagner ou vous conseiller.
En deuxième année, je manquais beaucoup de confiance en moi parce que je n’avais jamais rien publié, alors que j’étudiais le journalisme. Je me comparais à mes collègues, qui avaient publié beaucoup de textes et qui semblaient avoir une grande assurance. Je me suis liée d’amitié avec une personne de deux ans mon aînée, qui m’a conseillée de ne pas me laisser paralyser par le doute, et m’a dit que les choses s’amélioreraient en troisième et quatrième année. Elle avait raison. J’ai participé à des cours et à des ateliers de rédaction qui ont peaufiné mes habiletés journalistiques et qui m’ont donné de quoi être fière.
Les autres veulent vous voir réussir.
Ça ne veut pas dire que ce sera toujours facile. Ni que vous n’échouerez jamais à un cours, ou que vous n’aurez jamais affaire à une professeure ou à un auxiliaire d’enseignement bien acariâtre. Mais l’échec et les refus ont eux aussi leurs avantages, parce qu’ils peuvent vous indiquer la voie à suivre ou vous aider à vous réorienter dans un domaine qui vous convient mieux.
J’ai beaucoup peiné lorsque je me demandais si je devais changer de programme. À un certain moment, j’ai consulté une personne du corps professoral pendant ses heures de disponibilités pour savoir si, selon elle, je devrais poursuivre mes études dans son domaine, et elle m’a recommandé de changer de programme. Ça m’a anéantie. Toutefois (et c’est dur à admettre), elle avait raison. J’ai changé de programme et je me sens bien mieux maintenant.
Vous payez pour des services : utilisez-les.
La majorité des universités canadiennes proposent à la communauté étudiante tout un éventail de services de soutien, que ce soit par les services généraux de l’établissement, les associations étudiantes ou les facultés. Dans mon université, j’ai accès à :
- des conseillères et conseillers pédagogiques;
- des services d’orientation professionnelle;
- un service d’impression gratuit (100 pages par année);
- des activités de réseautage;
- des conférences;
- de l’accompagnement en bien-être et en santé mentale;
- des services pour l’hébergement à l’extérieur du campus;
- une assurance pour les soins dentaires et de la vue;
- la base de données de la bibliothèque.
J’ai recours aux services d’orientation professionnelle quand j’ai besoin d’aide pour mettre en forme mon CV ou me préparer à une entrevue. Lors les activités de réseautage, je rencontre toujours des collègues à qui je n’aurais jamais parlé sinon. L’université est dépositaire du savoir : si vous cherchez une information, consultez la base de données de la bibliothèque!
Cette liste est loin de couvrir toutes les ressources proposées par les universités. Allez à la découverte de celles offertes par votre établissement!
Je ne suis pas à l’abri de la jalousie et je doute encore de ma place dans le monde, mais je sais maintenant que je peux me tourner vers des gens qui me conseilleront lors des moments difficiles.
Lors de votre parcours universitaire au Canada, vous ferez des erreurs, vous éprouverez des difficultés et ça ne sera pas facile, mais ce cheminement vous fera grandir. Continuez comme ça. Tout va très bien.
J’ai bien des collègues qui me surpassent en talent, en intelligence et en succès, et c’est bien ainsi. Avec le temps, j’ai appris à affirmer que je fais de mon mieux. J’essaie d’accomplir mes objectifs et je suis sur la bonne voie. C’est suffisant pour l’instant.
Un diplôme représente la somme des apprentissages faits sur les bancs d’école et aux côtés de spécialistes dans le domaine. Lors de votre parcours universitaire au Canada, vous ferez des erreurs, vous éprouverez des difficultés et ça ne sera pas facile, mais ce cheminement vous fera grandir. Continuez comme ça. Tout va très bien.
"
["post_title"]=>
string(139) "À la recherche de votre boussole intérieure? Voici comment j’ai trouvé ma voie à l’université et comment y arriverez vous aussi"
["post_excerpt"]=>
string(0) ""
["post_status"]=>
string(7) "publish"
["comment_status"]=>
string(6) "closed"
["ping_status"]=>
string(6) "closed"
["post_password"]=>
string(0) ""
["post_name"]=>
string(124) "a-la-recherche-de-votre-boussole-interieure-voici-comment-jai-trouve-ma-voie-a-luniversite-et-comment-y-arriverez-vous-aussi"
["to_ping"]=>
string(0) ""
["pinged"]=>
string(0) ""
["post_modified"]=>
string(19) "2025-06-26 12:39:12"
["post_modified_gmt"]=>
string(19) "2025-06-26 16:39:12"
["post_content_filtered"]=>
string(0) ""
["post_parent"]=>
int(0)
["guid"]=>
string(34) "https://universitystudy.ca/?p=1407"
["menu_order"]=>
int(0)
["post_type"]=>
string(4) "post"
["post_mime_type"]=>
string(0) ""
["comment_count"]=>
string(1) "0"
["filter"]=>
string(3) "raw"
}
}