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À mes débuts à l’université, je souhaitais secrètement un nouveau départ.
Ce n’est pas que mon passage à l’école secondaire a été marqué par le harcèlement ou d’autres drames. Simplement, je ne trouvais pas ma place. J’errais d’un groupe à l’autre, je passais ma pause-dîner à la bibliothèque... J’avais souvent l’impression d’assister à une scène sans en faire partie. Je me disais : « À l’université, ce sera différent. » Sans plan précis, je me raccrochais à cet espoir.
Et nouveau départ il y eut. Mais le changement n’est pas arrivé du jour au lendemain. J’ai d’abord vécu de petits moments – provoqués ou non – qui m’ont fait sentir qu’on me voyait, qu’on m’incluait, et qu’on fraternisait avec moi.
L’une de mes premières surprises a été de constater qu’à l’université, personne ne se soucie de ce qu’on a pu être à l’école secondaire. On remettait les compteurs à zéro, personne ne se connaissait, et beaucoup souhaitaient se réinventer. Durant l’orientation, quelqu’un m’a dit : « J’étais très timide au secondaire. J’essaie ici de sortir un peu plus de ma coquille, alors merci de ton indulgence. » Ça m’est resté en tête. Pour la première fois, je voyais quelqu’un qui tentait, tout comme moi, de trouver sa voie. Je me suis alors permis, moi aussi, d’essayer des choses.
J’ai senti qu’on m’accueillait sans que j’aie à m’illustrer ou à impressionner. Ma présence suffisait.
Les premières semaines étaient à la fois bizarres et étonnamment pleines de sens. Tout le monde montrait de l’ouverture, de la curiosité et une volonté de nouer des liens. J’ai fait l’effort de participer à une activité d’accueil, soit celle organisée par le Bureau de l’expérience étudiante. Même si j’ai bien failli me désister, cet événement a marqué un tournant. J’ai pu y discuter avec une personne qui déteste les activités brise-glace autant que moi, et notre amitié perdure depuis ce jour-là. Ça m’a rappelé qu’une amitié peut naître sans présentation parfaite et qu’il suffit parfois d’une gêne commune pour tisser un lien.
J’ai alors commencé à faire de petits gestes pour rencontrer des personnes. J’ai salué quelqu’un dans un cours. J’ai intégré un club qui m’intéressait. Et surtout, j’ai arrêté d’éprouver du malaise face aux activités sur le campus. Les activités de vie étudiante et les clubs servent à bien plus que passer le temps : c’est l’occasion de se trouver des affinités avec d’autres personnes. En intégrant le journal étudiant, j’ai fait la connaissance d’étudiantes et d’étudiants passionnés, créatifs et aimables, et j’ai senti qu’on m’accueillait sans que j’aie à m’illustrer ou à impressionner. Ma présence suffisait.
Ce ne fut pas toujours facile. Il n’est pas nécessairement naturel pour un adulte de nouer de nouvelles amitiés. Il n’y a pas de places désignées ou de projets en groupe pour forcer les interactions. Il faut une pincée de courage, peut-être un peu de maladresse et la volonté d’engager des conversations qui risquent de ne mener nulle part. J’ai commencé avec des questions simples comme « Connais-tu ce professeur? » ou encore « Est-ce que la place est libre? ». C’était suffisant pour que, parfois, une amitié naisse.
Je ne m’attendais pas à ce que lier de véritables amitiés soit si long. Ça ne se passe pas comme dans les films, où l’héroïne trouve sa meilleure amie dès la première semaine. Il faut du temps. Mais j’ai persévéré, me présentant aux réunions de club, en classe, aux activités en résidence... Au fil du temps, certains visages sont devenus familiers. Les visages familiers sont devenus des connaissances. Et les connaissances sont devenues des amitiés. Certaines personnes que j’avais à peine remarquées en septembre faisaient partie de mes amis les plus proches au printemps.
Nul besoin de se réinventer ou de devenir un moulin à paroles. Il suffit de rester soi-même, et de trouver le courage d’essayer.
Maintenant que je suis en quatrième année, même si j’ai un réseau très soudé, il m’arrive encore de chercher ma place. Mais j’ai appris qu’une solitude occasionnelle n’a rien à voir avec l’échec. C’est tout simplement le propre de l’humain. Tout le monde évolue à sa manière, même ceux qui affichent une confiance absolue.
À celles et ceux qui arrivent à l’université avec le même sentiment qui m’habitait, en espérant améliorer les choses, sachez que vous n’êtes pas seuls. Il y a des personnes sur le campus qui veulent elles aussi tisser des liens. J’ai réussi en prenant de petits risques, en tolérant le malaise et en disant « oui » plus souvent que « non ».
Nul besoin de se réinventer ou de devenir un moulin à paroles. Il suffit de rester soi-même, et de trouver le courage d’essayer.
Votre réseau vous attend. Ne renoncez pas.
Vous y arriverez!
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Par Hailey Leggett
Avoir une mauvaise note peut peser lourd sur la santé mentale et la confiance. Tout au long de notre parcours scolaire, on a évalué nos connaissances – et bien souvent notre valeur – avec des lettres et des chiffres. Dès notre plus jeune âge, on semble nous dire qu’avoir un A+, c’est un gage d’intelligence et de réussite, tandis qu’avoir un C-, c’est un signe de bêtise et d’échec. Mais c’est tout simplement faux. Ça l’a toujours été.
Bon nombre de sources universitaires insistent : les notes ne définissent pas notre intelligence ou notre valeur. On a beau entendre ce message, y croire et l’assimiler – surtout quand on étudie à l’université – est une autre paire de manches. Remettre en question une conviction ancrée en nous depuis des années n’est pas chose facile, mais croire que c’est possible est la première étape pour y arriver.
La transition entre le secondaire et l’université peut être fort ardue, surtout pour celles et ceux qui cumulaient les « A » à l’adolescence. Or, beaucoup d’étudiantes et d’étudiants ne réalisent pas qu’une baisse des notes ne signifie pas un manque d’intelligence ou de capacités. Plutôt, elle reflète le passage à un environnement scolaire plus compétitif et exigeant. À l’université, nos pairs sont souvent des personnes qui étaient elles aussi douées à l’école; les attentes sont beaucoup plus élevées. Une baisse des notes est donc tout à fait normale. En outre, les évaluations sont généralement bien différentes qu’au secondaire – les examens importants comptent parfois pour 50 ou 60 % du résultat final.
Pour certains cours, la mémorisation est de mise; pour d’autres, c’est l’application du contenu qui compte. Tout le monde a des compétences différentes. Certaines personnes seront excellentes pour mettre la théorie en pratique, et d’autres seront des as du par cœur. Même en étudiant pendant des heures, les résultats ne seront pas toujours au rendez-vous. Vos notes ne seront pas nécessairement le reflet de votre connaissance d’un sujet. La pression des examens peut jouer sur votre capacité à performer, et par conséquent, sur vos résultats. Ne laissez pas une mauvaise note vous détourner de votre intérêt pour un sujet. Ce qui compte, c’est de tirer du plaisir de vos apprentissages.
À l’université, les instructions pour les travaux sont parfois floues, voire frustrantes. C’est pourquoi il faut poser des questions dès que possible. Obtenez des clarifications pour le moindre détail. Chaque auxiliaire d’enseignement a des critères de correction qui lui sont propres. Comprendre les attentes de la personne qui corrigera vos travaux peut vous éviter des déceptions, ou à tout le moins les amenuiser. Si vous avez des doutes sur une note, demandez des explications à votre auxiliaire d’enseignement. Un mauvais résultat, ce n’est pas la fin du monde. Si vous peinez à tenir le rythme ou sentez que vous pourriez faire mieux, parlez-en à votre équipe d’enseignement. Elle est là pour vous aider. Tout le monde commence quelque part; ne laissez pas les notes de vos camarades freiner votre course vers la réussite.
Quand vous aurez une note décevante (c’est pratiquement inévitable), donnez-vous le temps de gérer vos émotions. Il pourrait être utile de rédiger une liste de mesures à prendre si ça arrive à nouveau. Voici quelques trucs pour vous aider à surmonter une mauvaise note :
- Prenez une grande inspiration.
- Relisez attentivement tous les commentaires avec un esprit ouvert.
- Si vous êtes en désaccord avec une note, prenez rendez-vous avec votre auxiliaire d’enseignement ou votre professeure ou professeur.
- Assistez à des séances de conseils sur les études ou consultez des outils d’aide.
- Demandez des tuyaux à une étudiante ou un étudiant qui a déjà suivi le cours.
- Repensez votre façon d’étudier et établissez un nouveau plan adapté au cours ou au sujet.
Alors que vous traverserez les hauts et les bas des études universitaires, n’oubliez pas que votre avenir ne dépend pas d’une seule note. Ce qui vous définit en tant que personne, c’est votre réponse à l’adversité. Votre passage à l’université sera marqué par l’épanouissement, le changement et la découverte de soi.
La personne que vous êtes en train de devenir compte infiniment plus qu’un nombre ou une lettre sur un relevé de notes. Vous méritez d’être à l’université autant que quiconque.
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Arriver à l’université, c’est débuter une aventure pleine de promesses, mais aussi parfois marquée de difficultés. Pour nombre de personnes – qu’elles soient du Canada ou d’ailleurs – cette période est synonyme d’une nouvelle indépendance, de défis scolaires et de grandes étapes de vie. Un réseau de soutien solide peut maximiser les chances d’une transition en douceur. Dans cet article, vous découvrirez les facteurs qui rendent ce réseau si précieux, des astuces pour le bâtir et les différentes ressources qui vous aideront à vous épanouir pendant votre première année universitaire au Canada.
L’importance du réseau de soutien
La première année universitaire en est une d’adaptation. Entre les nouvelles responsabilités, les rapports sociaux et les attentes scolaires, un bon réseau peut aider à naviguer les changements et être une source de soutien émotionnel, de conseils et d’astuces pratiques.
Ce qu’offre un réseau de soutien solide :
- Une baisse du sentiment d’isolement : En vous entourant de pairs qui vous soutiennent, vous pouvez contrer le sentiment d’isolement que beaucoup ressentent en première année, surtout si vous avez quitté le nid familial ou déménagé dans un nouveau pays.
- De l’aide avec les études : Vos pairs, vos professeures et professeurs, et le personnel de l’établissement peuvent vous soutenir dans vos travaux, vos techniques d’étude et votre gestion du temps.
- Une source de bien-être : Le soutien émotionnel diminue grandement le stress, l’anxiété et le mal du pays, contribuant ainsi à une bonne santé mentale.
- Des occasions de réseautage : Les rencontres que vous ferez pendant votre première année peuvent s’avérer le début d’amitiés durables ou mener à un emploi.
Nouvelles amitiés et rencontres
La première étape à suivre pour bâtir votre réseau est de rencontrer d’autres étudiantes et étudiants. Tout le monde est dans le même bateau – on cherche à nouer des amitiés et à s’adapter à son nouvel environnement de vie.
- Joignez-vous à des clubs et des groupes étudiants : Les universités canadiennes proposent tout un éventail de clubs étudiants, qui vont des sociétés universitaires aux groupes basés sur des intérêts particuliers (sports, musique, implication sociale, etc.). En y participant, vous pourrez non seulement pratiquer vos activités de loisir, mais aussi rencontrer des personnes qui vous ressemblent.
- Participez aux activités d’orientation : Les semaines d’orientation visent à aider les étudiantes et étudiants de première année à prendre leurs repères et à se rencontrer. Que vous participiez à des événements en personne ou à distance, il s’agit d’excellentes occasions de briser la glace et de rapidement faire de nouvelles rencontres.
- Participez à des groupes d’étude : Les groupes d’étude – que vous vous joignez à un groupe existant ou que vous en créez un – sont une belle occasion de rencontrer vos camarades de classe, d’échanger des connaissances et de vous motiver mutuellement dans les études.
Si vous venez de l’étranger, il peut d’abord être intimidant de nouer de nouvelles amitiés, surtout lorsque la langue ou la culture diffère de la vôtre. Rappelez-vous que les campus canadiens sont très multiculturels, et que vous rencontrerez donc sûrement des gens avec le même bagage que vous.
Ressources universitaires
Les universités canadiennes vous offrent une panoplie de ressources pour vous accompagner sur les plans scolaire, social et émotionnel.
- Conseillères et conseillers pédagogiques : Ces membres du personnel peuvent vous aider à choisir vos cours, à planifier votre parcours universitaire et à équilibrer votre charge de travail.
- Services de soutien : De nombreuses universités offrent des services de soins de santé mentale gratuitement ou à faible coût. Quand l’épuisement, le mal du pays ou l’anxiété vous gagne, il peut être très bénéfique d’en parler avec une ou un spécialiste.
- Programmes de mentorat par les pairs : Dans certaines universités, vous pouvez vous faire jumeler à une étudiante ou un étudiant des années supérieures qui vous conseillera quant aux études, à la vie sur le campus et aux ressources universitaires. Le mentorat peut être d’un grand soutien aux personnes de l’étranger en particulier, qui découvrent le système d’éducation canadien.
- Services de santé et de bien-être : Des services de counselling en santé mentale aux programmes de conditionnement physique, l’offre des universités en matière de bien-être est vaste. Pour bien réussir dans vos études, vous devez garder la santé.
Si vous venez de l’étranger, vous pourriez aussi vous tourner vers le bureau des étudiantes et étudiants étrangers de votre établissement, qui pourrait vous proposer des ressources pour vous adapter à la vie au Canada, comme de l’accompagnement pour remplir les formulaires d’immigration, des conseils pour vous loger et des activités sociales.
Liens universitaires
Vous avez beaucoup à gagner en tissant des liens avec les personnes qui vous enseignent et les conseillères et conseillers pédagogiques de votre établissement.
- Profitez des périodes de disponibilités : Les membres du corps professoral et les auxiliaires d’enseignement réservent souvent des plages horaires où vous pouvez les consulter à leur bureau à propos des cours ou des travaux à faire, ou leur demander de l’aide. Vous démontrez ainsi votre sérieux et votre motivation quant à vos études. Vous pourriez aussi nouer des liens durables qui pourraient mener à du mentorat.
- Participez en classe : Participez aux discussions, posez des questions et assistez aux cours dirigés et aux séminaires pour nouer des liens avec les personnes qui vous enseignent et vos camarades de classe.
Vos liens universitaires ne vous aident pas seulement à obtenir de meilleures notes, ils vous donnent aussi plus de chances de participer à des travaux de recherche ou à des stages, ou d’obtenir des lettres de recommandation qui vous seront utiles au travail et à l’école.
Équilibre vie personnelle et sociale
La richesse d’un réseau de soutien ne se limite pas à son effet sur votre réussite universitaire – votre réseau vous permet aussi de garder un certain équilibre de vie.
- Entretenez vos liens avec vos proches : Si vous déménagez loin pour l’université, ne laissez pas de côté vos anciennes amitiés et votre passé. Vous trouverez du réconfort et une stabilité, surtout lors de moments difficiles, en communiquant régulièrement avec vos proches.
- Définissez vos limites : Il est bien sûr indispensable de faire de nouvelles rencontres et de participer à des activités, mais respectez vos capacités. Pensez à vous et gardez-vous suffisamment de temps pour vous reposer et vous ressourcer.
- Trouvez une mentore ou un mentor hors de l’université : Les personnes de votre communauté, de votre famille ou dans votre profession visée peuvent vous aider à mettre les choses en perspective pendant vos études universitaires.
Adaptation aux différences culturelles (pour les étudiantes et étudiants étrangers)
Si vous venez de l’étranger, l’expérience universitaire peut être d’autant plus complexe que vous devez vous adapter à la culture locale, mais votre parcours peut aussi en être d’autant plus enrichi.
- Célébrez la diversité culturelle : Les campus canadiens sont connus pour leur diversité culturelle. Profitez-en pour découvrir d’autres cultures et faire connaître la vôtre. Les échanges culturels vous permettront de nouer des amitiés profondes qui ouvriront vos horizons.
- Trouvez les groupes d’étudiantes et étudiants étrangers : La plupart des universités canadiennes proposent des groupes spécifiquement pour les étudiantes et étudiants étrangers qui, bien souvent, organisent des activités sociales en plus d’offrir du soutien aux études et un endroit où parler votre langue et rencontrer d’autres personnes qui connaissent les défis propres aux études internationales.
- Participez à des ateliers interculturels : Dans certaines universités, vous pourrez participer à des ateliers ou à des formations sur la communication interculturelle, ce qui peut vous être utile dans vos études ou votre vie personnelle.
Astuces pour entretenir votre réseau
Une fois votre réseau bâti, vous devez l’entretenir. Il faut s’investir pour nouer des liens solides, mais les bénéfices en valent la peine.
- Allez de l’avant : Communiquez avec vos camarades de classe, vos colocataires ou les membres du corps professoral même si vous doutez de vous ou ressentez de la gêne. Tout le monde a un certain inconfort au début.
- Offrez votre aide : Pour bâtir un réseau de soutien, on doit donner comme on reçoit. Lorsque vous proposez de l’aide aux autres, vous solidifiez vos liens et établissez une réciprocité.
- Maintenez votre implication : Participez régulièrement aux activités sociales ainsi qu’aux rencontres de votre club ou de votre groupe d’étude. Avec le temps, la constance renforce les liens.
L’un des meilleurs gestes que vous pouvez poser pour maximiser vos chances d’une transition universitaire plaisante et en douceur est de bâtir votre réseau dès votre première année. Que vous veniez du Canada ou d’ailleurs, vous pourrez mieux faire face aux aléas de la vie universitaire en apprenant à connaître vos pairs, les membres du corps professoral et les ressources qui s’offrent à vous. N’oubliez pas que l’université n’est pas qu’une affaire d’études – c’est l’occasion de nouer des liens durables et de vous bâtir un réseau qui vous aidera à réussir dans votre parcours scolaire comme dans la vie.
En posant de petits gestes pour faire des rencontres, en demandant de l’aide et en gardant l’équilibre entre votre vie universitaire et votre vie personnelle, vous aurez un entourage solide qui pourra vous accompagner et grâce auquel vous pourrez profiter au maximum de l’expérience universitaire.
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