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Post ID: 1407
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À mon arrivée à l’université, je pensais que le plus difficile allait être la charge de travail. Je m’attendais aux longues heures passées à la bibliothèque, aux travaux d’équipe qui n’en finissent plus et aux nuits blanches à étudier avant un examen.
Bien sûr, ces défis étaient réels, mais ce n’est pas ce qui m’a le plus épuisée. Le vrai fardeau était beaucoup plus insidieux. C’était quelque chose dont je n’avais jamais entendu parler avant : la charge mentale.
La charge mentale, ce sont toutes nos pensées, ce qu’on planifie, ce qu’on organise. Toutes ces choses que personne d’autre que nous ne voit. Ce n’est pas simplement ce qui se passe en classe. C’est la responsabilité constante de devoir gérer tous les aspects de sa vie tout en restant à jour dans ses études.
Une gymnastique constante
Entre les cours, je me retrouvais à me demander si je m’étais rappelé d’envoyer un courriel à ma propriétaire pour savoir si mon versement du RAFEO (Régime d’aide financière aux étudiantes et étudiants de l’Ontario) était arrivé et si j’aurais assez d’argent pour faire l’épicerie après avoir payé mon loyer et mes manuels. Parfois, au milieu d’un laboratoire, je me souvenais soudainement que je devais m’inscrire à un salon de l’emploi ou renouveler mon abonnement étudiant de transport en commun.
Ce n’étaient pas des tâches complexes en soi, mais rassemblées, elles occupaient tout mon esprit. Elles étaient devenues un nuage invisible qui me suivait partout, même quand j’étais censée être concentrée sur autre chose.
Les millions de microdécisions
Je ne me serais jamais attendue à devoir prendre autant de microdécisions au quotidien. Dès mon réveil, la machine s’emballait : « Qu’est-ce que je vais porter aujourd’hui? », « Est-ce que je vais sur le campus en autobus ou à pied? », « Par quel travail est-ce que je commence? » Le soir venu, je n’avais plus l’énergie de décider quoi manger pour souper.
Ce phénomène s’appelle la fatigue décisionnelle. C’est lorsque nous avons tellement de petites décisions à prendre dans notre journée que même les plus simples d’entre elles nous semblent une montagne. Ce n’est pas du je-m’en-foutisme, mais plutôt un signe que notre cerveau travaille sans relâche.
Les responsabilités qui passent sous le radar
À la charge de travail s’ajoute une longue liste de responsabilités, dont aucune n’est inscrite au plan de cours :
- Répondre aux courriels universitaires;
- Mettre à jour son profil LinkedIn avant un événement de réseautage;
- Fixer des rendez-vous médicaux et renouveler des documents importants;
- Faire un budget pour arriver à manger après avoir payé le loyer.
Bien qu’essentielles, ces tâches ne viennent pas avec des échéances ou des notes. Il est parfois difficile de leur consacrer du temps, considérant qu’elles ne font pas officiellement partie de la sphère scolaire. Et tant qu’on ne les coche pas de notre liste, elles nous restent en tête.
Apprendre à alléger son sac
J’ai pris un moment à réaliser que pour gérer ma charge mentale, je ne devais pas en faire plus; je devais créer des habitudes pour réduire le nombre de microdécisions à prendre.
J’ai commencé à manger la même chose pour déjeuner tous les jours de la semaine. Avec ce simple changement, j’avais maintenant une décision de moins à prendre le matin et donc plus d’énergie pour le reste de ma journée.
Je me réservais une demi-heure tous les deux jours pour régler des tâches administratives : courriels, RAFEO, horaire. Au lieu de laisser ces tâches interrompre ma journée, je les accomplissais d’un coup.
Quand je pensais à une autre chose que j’avais à faire, je l’écrivais tout de suite dans un cahier. Cela me permettait de libérer mon esprit sans avoir la crainte de l’oublier.
J’ai aussi réduit mes choix de repas, de tenues et de trajets. En limitant mes options, je me sentais plus sereine dans ma routine.
Plus important encore, j’ai commencé à faire de courtes promenades sans mon téléphone. Passer aussi peu que dix minutes à l’extérieur me permettait de m’aérer l’esprit et de m’accorder une petite pause.
Pourquoi c’est important
La charge mentale fait partie intégrante de la vie universitaire, même si on ne s’en rend pas toujours compte. C’est facile de penser qu’on est simplement incapable de bien gérer son temps ou qu’on ne travaille pas assez fort, alors qu’en réalité, on traîne une foule de responsabilités invisibles aux yeux des autres.
Reconnaître ce fardeau, c’est un premier pas pour arriver à l’alléger. En se créant une routine, en prenant l’habitude de s’écrire des notes et en offrant une pause à son cerveau, on peut préserver son énergie pour ce qui compte réellement.
L’université, c’est plus que des cours et des travaux. C’est une étape où l’on apprend à jongler entre toutes les sphères de sa vie d’une façon saine et équilibrée. Une aptitude qui continue de servir bien après les études.
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Texte extrait de : Education au/in Canada.
Acquérez une expérience professionnelle précieuse et augmentez votre pouvoir d’achat avec des emplois d’étudiant à temps partiel pour étudiants étrangers.
Alors que vous devez prouver que vous pouvez payer vos frais de scolarité et de subsistance avant d’arriver au Canada, un certain nombre de programmes de permis de travail pour étudiants étrangers et leurs époux ou conjoints de fait permettent de travailler au Canada.
Travailler au Canada peut vous permettre d’établir des contacts d’affaires pour l’avenir et peut même vous aider à immigrer après le diplôme.
Travail hors campus
Le Programme de permis de travail hors campus vous autorise à travailler jusqu’à 20 heures par semaine durant la période scolaire normale et à plein temps durant les vacances programmées (par exemple vacances d’été et d’hiver et la relâche du printemps).
Travail à titre de stagiaire ou de participant à un programme coopératif
Le Programme de permis de travail à titre de stagiaire ou de participant à un programme coopératif est destiné aux étudiants étrangers dont l’emploi envisagé est une part essentielle de leur programme d’études au Canada, sur certification de leur établissement scolaire canadien. La part de travail de ce programme peut représenter jusqu’à 50 pour cent du programme d’études.
Possibilités de travail sur le campus
Les étudiants étrangers qui détiennent des permis d’études valides et qui étudient à plein temps dans une université ou un collège privé ou public admissible peuvent aussi être admissibles pour travailler sans permis de travail sur le campus de l’établissement dans lequel ils étudient.
Complément d’information sur les possibilités de travail pour les étudiants étrangers
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Texte extrait de : Education au/in Canada.
Plusieurs options s’offrent à vous à la fin de vos études au Canada. Vous pouvez :
- Retourner dans votre pays d’origine avec un diplôme mondialement reconnu et une précieuse expérience de travail à l’étranger.
- Continuer vos études aux cycles supérieurs au Canada pour obtenir un diplôme.
- Obtenir de l’expérience de travail supplémentaire au Canada.
Travailler au Canada à la fin de ses études.
Acquérir une précieuse expérience de travail au Canada à la fin de vos études vous aidera grandement à immigrer de façon permanente au pays. Les programmes suivants peuvent faciliter le processus pour les candidats admissibles :
Programme de travail post-diplôme
Ce programme permet aux étudiants étrangers qui ont obtenu un diplôme d’un établissement postsecondaire canadien participant d’obtenir une précieuse expérience de travail au Canada par l’entremise d’un permis de travail spécial valide pendant toute la durée du programme d’études, jusqu’à un maximum de trois ans.
Pour obtenir un complément d’information ou pour présenter une demande :
La Catégorie de l’expérience canadienne
Ce programme permet aux étudiants étrangers qui ont obtenu un diplôme d’un établissement postsecondaire canadien participant de présenter une demande pour rester au Canada de façon permanente. Pour être admissible, vous devez déjà bien connaître la société canadienne, être capable de communiquer en anglais ou en français, avoir de l’expérience à titre de travailleur qualifié, et être capable de contribuer à l’économie canadienne.
Pour obtenir un complément d’information ou pour présenter une demande :
Programme des candidats des provinces
Ce programme permet aux étudiants qui ont obtenu un diplôme d’un établissement postsecondaire canadien participant d’être sélectionnés par une province ou un territoire canadien pour devenir résidents permanents du Canada. Pour être admissible, vous devez avoir les compétences, l’éducation et l’expérience de travail nécessaires pour contribuer immédiatement à l’économie de la province ou du territoire responsable de la sélection.
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