À la recherche de votre boussole intérieure?  Voici comment j’ai trouvé ma voie à l’université et comment y arriverez vous aussi

Par Études Universitaires
University student sitting lonely on campus

Par Lisha Lao, Carleton University

J’avais 18 ans quand j’ai amorcé mes études universitaires, en 2022. J’ai déménagé de Toronto à Ottawa, et c’était la première fois que j’habitais seule. J’ai eu tellement de difficultés. Je me sentais seule, j’avais peur et je ne savais pas du tout où je m’en allais. Je me demandais sans cesse pourquoi j’avais déménagé à cinq heures de mes proches, et si mes études en journalisme en valaient vraiment la peine. 

J’en suis maintenant à ma troisième année et je commence tout juste à me sentir à ma place et au bon endroit pour m’épanouir. 

Par trois fois, j’ai changé de programme ou de concentration. C’était toujours difficile et décevant sur le coup, mais au bout du compte, c’était le bon choix. 

Ma plus grosse difficulté, c’était que j’avais l’impression de devoir soigneusement choisir mon domaine d’études parce qu’il déterminerait mon identité future. Je croyais que je ne devais pas me sentir ambivalente par rapport à mes cours, que c’était un défaut. Je me pensais isolée et en retard sur les autres, alors qu’en réalité, mon parcours ne faisait que commencer. 

Je me suis mise à l’écart, rongée par la crainte et par la honte, sans raison aucune. On n’a pas à s’isoler et à souffrir. Ce qui m’a vraiment aidée, c’est d’être enfin allée consulter ma conseillère pédagogique. Je lui ai parlé de mes doutes sur mes cours, et elle m’a aidée à en trouver d’autres qui concordaient davantage avec mes intérêts et qui m’aideraient sur le plan professionnel. Elle m’a conseillée sur la façon de discuter avec le corps professoral et m’a dirigée vers les services de santé mentale sur le campus. J’ai compris que je n’étais pas la seule dans ma situation et qu’il existait des services de soutien pensés précisément pour ce que je vivais. 

Parlez à des personnes des années supérieures. 

Il n’y a rien de farfelu à vouloir changer de programme ou de concentration, même que c’est plutôt répandu. Selon l’Université de Toronto, entre 50 et 70 % des étudiantes et étudiants changeront de concentration au moins une fois au cours de leurs études. 

J’ai parlé avec du personnel conseiller, des professeures et professeurs, des auxiliaires d’enseignement et des étudiantes et étudiants des années supérieures. Chaque personne m’a appris quelque chose. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil : il est très probable qu’une autre personne ait vécu la même chose que vous et puisse vous accompagner ou vous conseiller. 

En deuxième année, je manquais beaucoup de confiance en moi parce que je n’avais jamais rien publié, alors que j’étudiais le journalisme. Je me comparais à mes collègues, qui avaient publié beaucoup de textes et qui semblaient avoir une grande assurance. Je me suis liée d’amitié avec une personne de deux ans mon aînée, qui m’a conseillée de ne pas me laisser paralyser par le doute, et m’a dit que les choses s’amélioreraient en troisième et quatrième année. Elle avait raison. J’ai participé à des cours et à des ateliers de rédaction qui ont peaufiné mes habiletés journalistiques et qui m’ont donné de quoi être fière.

Les autres veulent vous voir réussir. 

Ça ne veut pas dire que ce sera toujours facile. Ni que vous n’échouerez jamais à un cours, ou que vous n’aurez jamais affaire à une professeure ou à un auxiliaire d’enseignement bien acariâtre. Mais l’échec et les refus ont eux aussi leurs avantages, parce qu’ils peuvent vous indiquer la voie à suivre ou vous aider à vous réorienter dans un domaine qui vous convient mieux. 

J’ai beaucoup peiné lorsque je me demandais si je devais changer de programme. À un certain moment, j’ai consulté une personne du corps professoral pendant ses heures de disponibilités pour savoir si, selon elle, je devrais poursuivre mes études dans son domaine, et elle m’a recommandé de changer de programme. Ça m’a anéantie. Toutefois (et c’est dur à admettre), elle avait raison. J’ai changé de programme et je me sens bien mieux maintenant. 

Vous payez pour des services : utilisez-les.

La majorité des universités canadiennes proposent à la communauté étudiante tout un éventail de services de soutien, que ce soit par les services généraux de l’établissement, les associations étudiantes ou les facultés. Dans mon université, j’ai accès à : 

  • des conseillères et conseillers pédagogiques; 
  • des services d’orientation professionnelle; 
  • un service d’impression gratuit (100 pages par année); 
  • des activités de réseautage; 
  • des conférences; 
  • de l’accompagnement en bien-être et en santé mentale; 
  • des services pour l’hébergement à l’extérieur du campus; 
  • une assurance pour les soins dentaires et de la vue; 
  • la base de données de la bibliothèque. 

J’ai recours aux services d’orientation professionnelle quand j’ai besoin d’aide pour mettre en forme mon CV ou me préparer à une entrevue. Lors les activités de réseautage, je rencontre toujours des collègues à qui je n’aurais jamais parlé sinon. L’université est dépositaire du savoir : si vous cherchez une information, consultez la base de données de la bibliothèque! 

Cette liste est loin de couvrir toutes les ressources proposées par les universités. Allez à la découverte de celles offertes par votre établissement!

Je ne suis pas à l’abri de la jalousie et je doute encore de ma place dans le monde, mais je sais maintenant que je peux me tourner vers des gens qui me conseilleront lors des moments difficiles. 

Lors de votre parcours universitaire au Canada, vous ferez des erreurs, vous éprouverez des difficultés et ça ne sera pas facile, mais ce cheminement vous fera grandir. Continuez comme ça. Tout va très bien. 

J’ai bien des collègues qui me surpassent en talent, en intelligence et en succès, et c’est bien ainsi. Avec le temps, j’ai appris à affirmer que je fais de mon mieux. J’essaie d’accomplir mes objectifs et je suis sur la bonne voie. C’est suffisant pour l’instant. 

Un diplôme représente la somme des apprentissages faits sur les bancs d’école et aux côtés de spécialistes dans le domaine. Lors de votre parcours universitaire au Canada, vous ferez des erreurs, vous éprouverez des difficultés et ça ne sera pas facile, mais ce cheminement vous fera grandir. Continuez comme ça. Tout va très bien. 

Current Language: fr
Post ID: 1407
Related Posts Count: 3
string(1764) "SELECT SQL_CALC_FOUND_ROWS s.id,s.source,s.site,SUM(relevance) AS relevance FROM (SELECT s.id,s.source,s.site,s.attribute,((SUM(s.occurrences) * CASE WHEN ( (s.source = 'post.post' AND (s.attribute IN ('title','taxonomy.category','taxonomy.po_type'))) ) THEN 300 END) ) AS relevance FROM wp_searchwp_index s LEFT JOIN wp_posts s1 ON (s1.ID = s.id) LEFT JOIN wp_posts swpwpml1 ON swpwpml1.ID = s.id LEFT JOIN wp_icl_translations swpwpmlicl1 ON ( swpwpmlicl1.element_id = swpwpml1.ID AND swpwpmlicl1.element_type = CONCAT('post_', swpwpml1.post_type) ) WHERE 1=1 AND 1=1 AND s.token IN (3167,1641,11928,2654,1140,5404,11843,1805,7692,13106) AND (( `s`.`id` NOT IN ( 1407 ) )) AND ( ! ( s.site = 1 AND s.source = 'post.post' ) OR (s.site = 1 AND s.source = 'post.post' AND 1=1 AND ( swpwpmlicl1.language_code = 'fr' ) )) AND ((s.source = 'post.post' AND (s.attribute IN ('title','taxonomy.category','taxonomy.po_type')) AND ( ( `s1`.`post_type` = 'post' ) AND ( `s1`.`post_status` IN ( 'publish', 'acf-disabled' ) ) ))) GROUP BY s.site,s.source,s.attribute,s.id) AS s LEFT JOIN wp_posts s1 ON (s1.ID = s.id) LEFT JOIN wp_posts swpwpml1 ON swpwpml1.ID = s.id LEFT JOIN wp_icl_translations swpwpmlicl1 ON ( swpwpmlicl1.element_id = swpwpml1.ID AND swpwpmlicl1.element_type = CONCAT('post_', swpwpml1.post_type) ) WHERE 1=1 AND (SUBSTRING(s.source, 1, 5) != 'post.' OR (SUBSTRING(s.source, 1, 5) = 'post.' AND s.id != '0')) GROUP BY s.site, s.source, s.id HAVING relevance > 0 ORDER BY relevance DESC LIMIT 0, 3 /* From [www.etudesuniversitaires.ca/a-la-recherche-de-votre-boussole-interieure-voici-comment-jai-trouve-ma-voie-a-luniversite-et-comment-y-arriverez-vous-aussi/] in [/nas/content/live/universitystud/wp-content/plugins/searchwp/includes/Query.php:872] */" array(3) { [0]=> object(WP_Post)#6554 (24) { ["ID"]=> int(1484) ["post_author"]=> string(3) "173" ["post_date"]=> string(19) "2025-09-19 12:48:42" ["post_date_gmt"]=> string(19) "2025-09-19 16:48:42" ["post_content"]=> string(6930) "

À mon arrivée à l’université, je pensais que le plus difficile allait être la charge de travail. Je m’attendais aux longues heures passées à la bibliothèque, aux travaux d’équipe qui n’en finissent plus et aux nuits blanches à étudier avant un examen.

Bien sûr, ces défis étaient réels, mais ce n’est pas ce qui m’a le plus épuisée. Le vrai fardeau était beaucoup plus insidieux. C’était quelque chose dont je n’avais jamais entendu parler avant : la charge mentale.

La charge mentale, ce sont toutes nos pensées, ce qu’on planifie, ce qu’on organise. Toutes ces choses que personne d’autre que nous ne voit. Ce n’est pas simplement ce qui se passe en classe. C’est la responsabilité constante de devoir gérer tous les aspects de sa vie tout en restant à jour dans ses études.

Une gymnastique constante

Entre les cours, je me retrouvais à me demander si je m’étais rappelé d’envoyer un courriel à ma propriétaire pour savoir si mon versement du RAFEO (Régime d’aide financière aux étudiantes et étudiants de l’Ontario) était arrivé et si j’aurais assez d’argent pour faire l’épicerie après avoir payé mon loyer et mes manuels. Parfois, au milieu d’un laboratoire, je me souvenais soudainement que je devais m’inscrire à un salon de l’emploi ou renouveler mon abonnement étudiant de transport en commun.

Ce n’étaient pas des tâches complexes en soi, mais rassemblées, elles occupaient tout mon esprit. Elles étaient devenues un nuage invisible qui me suivait partout, même quand j’étais censée être concentrée sur autre chose.

Les millions de microdécisions

Je ne me serais jamais attendue à devoir prendre autant de microdécisions au quotidien. Dès mon réveil, la machine s’emballait : « Qu’est-ce que je vais porter aujourd’hui? », « Est-ce que je vais sur le campus en autobus ou à pied? », « Par quel travail est-ce que je commence? » Le soir venu, je n’avais plus l’énergie de décider quoi manger pour souper.

Ce phénomène s’appelle la fatigue décisionnelle. C’est lorsque nous avons tellement de petites décisions à prendre dans notre journée que même les plus simples d’entre elles nous semblent une montagne. Ce n’est pas du je-m’en-foutisme, mais plutôt un signe que notre cerveau travaille sans relâche.

Les responsabilités qui passent sous le radar

À la charge de travail s’ajoute une longue liste de responsabilités, dont aucune n’est inscrite au plan de cours :

Bien qu’essentielles, ces tâches ne viennent pas avec des échéances ou des notes. Il est parfois difficile de leur consacrer du temps, considérant qu’elles ne font pas officiellement partie de la sphère scolaire. Et tant qu’on ne les coche pas de notre liste, elles nous restent en tête.

Apprendre à alléger son sac

J’ai pris un moment à réaliser que pour gérer ma charge mentale, je ne devais pas en faire plus; je devais créer des habitudes pour réduire le nombre de microdécisions à prendre.

J’ai commencé à manger la même chose pour déjeuner tous les jours de la semaine. Avec ce simple changement, j’avais maintenant une décision de moins à prendre le matin et donc plus d’énergie pour le reste de ma journée.

Je me réservais une demi-heure tous les deux jours pour régler des tâches administratives : courriels, RAFEO, horaire. Au lieu de laisser ces tâches interrompre ma journée, je les accomplissais d’un coup.

Quand je pensais à une autre chose que j’avais à faire, je l’écrivais tout de suite dans un cahier. Cela me permettait de libérer mon esprit sans avoir la crainte de l’oublier.

J’ai aussi réduit mes choix de repas, de tenues et de trajets. En limitant mes options, je me sentais plus sereine dans ma routine.

Plus important encore, j’ai commencé à faire de courtes promenades sans mon téléphone. Passer aussi peu que dix minutes à l’extérieur me permettait de m’aérer l’esprit et de m’accorder une petite pause.

Pourquoi c’est important

La charge mentale fait partie intégrante de la vie universitaire, même si on ne s’en rend pas toujours compte. C’est facile de penser qu’on est simplement incapable de bien gérer son temps ou qu’on ne travaille pas assez fort, alors qu’en réalité, on traîne une foule de responsabilités invisibles aux yeux des autres.

Reconnaître ce fardeau, c’est un premier pas pour arriver à l’alléger. En se créant une routine, en prenant l’habitude de s’écrire des notes et en offrant une pause à son cerveau, on peut préserver son énergie pour ce qui compte réellement.

L’université, c’est plus que des cours et des travaux. C’est une étape où l’on apprend à jongler entre toutes les sphères de sa vie d’une façon saine et équilibrée. Une aptitude qui continue de servir bien après les études.

" ["post_title"]=> string(48) "Gérer la charge mentale de la vie universitaire" ["post_excerpt"]=> string(0) "" ["post_status"]=> string(7) "publish" ["comment_status"]=> string(4) "open" ["ping_status"]=> string(4) "open" ["post_password"]=> string(0) "" ["post_name"]=> string(47) "gerer-la-charge-mentale-de-la-vie-universitaire" ["to_ping"]=> string(0) "" ["pinged"]=> string(0) "" ["post_modified"]=> string(19) "2025-09-19 12:57:34" ["post_modified_gmt"]=> string(19) "2025-09-19 16:57:34" ["post_content_filtered"]=> string(0) "" ["post_parent"]=> int(0) ["guid"]=> string(34) "https://universitystudy.ca/?p=1484" ["menu_order"]=> int(0) ["post_type"]=> string(4) "post" ["post_mime_type"]=> string(0) "" ["comment_count"]=> string(1) "0" ["filter"]=> string(3) "raw" } [1]=> object(WP_Post)#6556 (24) { ["ID"]=> int(980) ["post_author"]=> string(1) "9" ["post_date"]=> string(19) "2013-08-08 01:49:00" ["post_date_gmt"]=> string(19) "2013-08-08 01:49:00" ["post_content"]=> string(3191) "

Texte extrait de : Education au/in Canada.

Acquérez une expérience professionnelle précieuse et augmentez votre pouvoir d’achat avec des emplois d’étudiant à temps partiel pour étudiants étrangers.

Alors que vous devez prouver que vous pouvez payer vos frais de scolarité et de subsistance avant d’arriver au Canada, un certain nombre de programmes de permis de travail pour étudiants étrangers et leurs époux ou conjoints de fait permettent de travailler au Canada.

Travailler au Canada peut vous permettre d’établir des contacts d’affaires pour l’avenir et peut même vous aider à immigrer après le diplôme.

Travail hors campus

Le Programme de permis de travail hors campus vous autorise à travailler jusqu’à 20 heures par semaine durant la période scolaire normale et à plein temps durant les vacances programmées (par exemple vacances d’été et d’hiver et la relâche du printemps).

Travail à titre de stagiaire ou de participant à un programme coopératif

Le Programme de permis de travail à titre de stagiaire ou de participant à un programme coopératif est destiné aux étudiants étrangers dont l’emploi envisagé est une part essentielle de leur programme d’études au Canada, sur certification de leur établissement scolaire canadien. La part de travail de ce programme peut représenter jusqu’à 50 pour cent du programme d’études.

Possibilités de travail sur le campus

Les étudiants étrangers qui détiennent des permis d’études valides et qui étudient à plein temps dans une université ou un collège privé ou public admissible peuvent aussi être admissibles pour travailler sans permis de travail sur le campus de l’établissement dans lequel ils étudient.

Complément d’information sur les possibilités de travail pour les étudiants étrangers

" ["post_title"]=> string(66) "Travailler pendant ses études au Canada – étudiants étrangers" ["post_excerpt"]=> string(0) "" ["post_status"]=> string(7) "publish" ["comment_status"]=> string(4) "open" ["ping_status"]=> string(4) "open" ["post_password"]=> string(0) "" ["post_name"]=> string(32) "working-while-studying-in-canada" ["to_ping"]=> string(0) "" ["pinged"]=> string(0) "" ["post_modified"]=> string(19) "2024-10-25 01:56:30" ["post_modified_gmt"]=> string(19) "2024-10-25 01:56:30" ["post_content_filtered"]=> string(0) "" ["post_parent"]=> int(0) ["guid"]=> string(33) "https://universitystudy.ca/?p=980" ["menu_order"]=> int(0) ["post_type"]=> string(4) "post" ["post_mime_type"]=> string(0) "" ["comment_count"]=> string(1) "0" ["filter"]=> string(3) "raw" } [2]=> object(WP_Post)#6542 (24) { ["ID"]=> int(988) ["post_author"]=> string(1) "9" ["post_date"]=> string(19) "2024-10-25 15:31:00" ["post_date_gmt"]=> string(19) "2024-10-25 15:31:00" ["post_content"]=> string(4368) "

Texte extrait de : Education au/in Canada

Plusieurs options s’offrent à vous à la fin de vos études au Canada. Vous pouvez :

Travailler au Canada à la fin de ses études.

Acquérir une précieuse expérience de travail au Canada à la fin de vos études vous aidera grandement à immigrer de façon permanente au pays. Les programmes suivants peuvent faciliter le processus pour les candidats admissibles :

Programme de travail post-diplôme

Ce programme permet aux étudiants étrangers qui ont obtenu un diplôme d’un établissement postsecondaire canadien participant d’obtenir une précieuse expérience de travail au Canada par l’entremise d’un permis de travail spécial valide pendant toute la durée du programme d’études, jusqu’à un maximum de trois ans.

Pour obtenir un complément d’information ou pour présenter une demande :

La Catégorie de l’expérience canadienne

Ce programme permet aux étudiants étrangers qui ont obtenu un diplôme d’un établissement postsecondaire canadien participant de présenter une demande pour rester au Canada de façon permanente. Pour être admissible, vous devez déjà bien connaître la société canadienne, être capable de communiquer en anglais ou en français, avoir de l’expérience à titre de travailleur qualifié, et être capable de contribuer à l’économie canadienne.

Pour obtenir un complément d’information ou pour présenter une demande :

Programme des candidats des provinces

Ce programme permet aux étudiants qui ont obtenu un diplôme d’un établissement postsecondaire canadien participant d’être sélectionnés par une province ou un territoire canadien pour devenir résidents permanents du Canada. Pour être admissible, vous devez avoir les compétences, l’éducation et l’expérience de travail nécessaires pour contribuer immédiatement à l’économie de la province ou du territoire responsable de la sélection.

Pour obtenir un complément d’information ou pour présenter une demande :

" ["post_title"]=> string(61) "Travailler à la fin de ses études – étudiants étrangers" ["post_excerpt"]=> string(0) "" ["post_status"]=> string(7) "publish" ["comment_status"]=> string(4) "open" ["ping_status"]=> string(4) "open" ["post_password"]=> string(0) "" ["post_name"]=> string(24) "working-after-graduation" ["to_ping"]=> string(0) "" ["pinged"]=> string(0) "" ["post_modified"]=> string(19) "2024-10-25 15:47:56" ["post_modified_gmt"]=> string(19) "2024-10-25 15:47:56" ["post_content_filtered"]=> string(0) "" ["post_parent"]=> int(0) ["guid"]=> string(52) "https://universitystudy.ca/working-after-graduation/" ["menu_order"]=> int(0) ["post_type"]=> string(4) "post" ["post_mime_type"]=> string(0) "" ["comment_count"]=> string(1) "0" ["filter"]=> string(3) "raw" } }